General Electric s’appuie sur le supercalculateur Summit d’IBM pour doper l’énergie éolienne

General Electric s'appuie sur le supercalculateur Summit d'IBM pour doper l'énergie éolienne

Pour exploiter de manière plus efficace le potentiel de l’énergie éolienne, la branche de recherche et développement du groupe General Electric (GE) se sont trouvés un allié inattendu. Il s’agit du superordinateur Summit d’IBM, auquel les chercheurs de GE ont eu accès par le biais du programme Advanced Scientific Computing Research Leadership Computing Challenge (ALCC) organisé par le ministère américain de l’énergie.

L’équipe de chercheurs prévoit d’utiliser des simulations par superordinateur pour trouver des leviers d’amélioration de l’efficacité de la production d’énergie éolienne en mer. “Le supercalculateur de Summit permettra à l’équipe de GE d’effectuer des calculs qui seraient autrement impossibles”, explique-t-on du côté du géant américain de l’énergie. “Cette recherche pourrait accélérer considérablement l’énergie éolienne offshore en tant que futur de l’énergie propre et notre chemin vers un environnement plus durable et plus sûr”.

GE a déclaré que le principal objectif du projet sera d’étudier les jets côtiers à basse altitude, qui, selon elle, produisent un profil de vitesse du vent distinct d’une importance potentielle pour la conception et l’exploitation des futures éoliennes.

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Développer l’énergie offshore

En utilisant Summit, l’équipe de GE effectuera des simulations pour étudier et informer de nouvelles façons de contrôler et d’exploiter les turbines offshore afin d’optimiser au mieux la production éolienne.

“Nous sommes maintenant en mesure d’étudier des profils de vent qui s’étendent sur des centaines de mètres de hauteur sur des dizaines de kilomètres de territoire jusqu’à la résolution du flux d’air sur les pales individuelles des turbines”, explique l’équipe de recherche et développement de GE, pour qui il serait “tout simplement impossible de rassembler et mener des expériences sur ce volume et cette complexité de données sans un superordinateur”.

Les chercheurs de GE travailleront en étroite collaboration avec les équipes du Laboratoire national des énergies renouvelables (NREL) et de l’ORNL pour faire progresser la plate-forme ExaWind, qui se concentre sur le développement de logiciels informatiques pour simuler différents parcs éoliens et la physique des flux atmosphériques. Les simulations permettront aux chercheurs de mieux comprendre la dynamique du vent et son impact sur les parcs éoliens, explique la direction de GE.

Source : ZDNet.com

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