
Qui paie réellement le prix de la transition écologique ? Une question que personne n’ose poser.

La transition écologique est souvent présentée comme une évidence, un chemin vertueux vers un avenir plus propre et plus durable. Mais derrière les slogans séduisants et les grandes promesses politiques, une question fondamentale reste dans l’ombre : qui paie vraiment le prix de cette transition ? Et surtout, est-ce bien équitable ?
Une écologie à deux vitesses : entre idéal vert et réalité sociale
Les décisions écologiques prises au sommet de l’État sont rarement neutres. Elles ont un coût. Et ce coût ne se répartit pas également entre tous. Taxe carbone, interdictions progressives des véhicules thermiques, normes de plus en plus contraignantes pour les logements ou les entreprises : tout cela pèse d’abord sur les classes populaires, les indépendants, les artisans, les PME.
Pendant qu’une élite urbaine peut se permettre d’acheter une voiture électrique dernier cri ou de rénover son logement avec des aides bien ciblées, des millions de Français vivent la transition écologique comme une pression supplémentaire, une perte de pouvoir d’achat, un diktat technocratique déguisé en progrès.
Derrière la vertu, des intérêts économiques puissants
L’écologie n’est pas seulement une affaire de planète, c’est aussi une affaire de business. Qui bénéficie réellement des politiques dites “vertes” ? Les géants de l’énergie renouvelable, les industriels de l’automobile électrique, les acteurs du numérique qui dématérialisent à tout-va… mais rarement les citoyens ordinaires.
La promesse d’un monde plus “durable” masque souvent la réalité d’un capitalisme de subventions, où l’argent public finance des filières plus profitables pour les grandes entreprises que pour l’environnement lui-même. Le tout sous couvert de vertu.
Un impératif démocratique : réinterroger le sens de la transition
Poser ces questions ne fait pas de vous un climatosceptique. Cela fait de vous un citoyen conscient. Parce que l’écologie, si elle veut être juste, doit aussi être démocratique. Il est urgent de sortir d’un discours culpabilisant et uniforme pour ouvrir un vrai débat sur les priorités, les arbitrages et les conséquences sociales des politiques climatiques.
Et si, au nom du climat, nous étions en train de sacrifier nos libertés économiques, nos choix de vie, notre souveraineté énergétique ?
Ce débat, Guy de Lussigny l’ouvre sans détour dans son livre-choc : « Dictature Verte : Comment la France et l’Europe détruisent liberté et prospérité au nom du climat », disponible dès maintenant sur Amazon.fr. Un essai percutant, documenté, qui remet en perspective les véritables enjeux politiques, économiques et sociaux de cette transition imposée sans débat.