Villes asphyxiées : quand l’idéologie verte sacrifie les habitants, les commerces et la liberté

Les centres-villes meurent à petit feu. Et ce ne sont ni les crises économiques ni le commerce en ligne qui leur portent le coup fatal. Non. Ce qui tue nos villes, c’est une politique dogmatique, brutale, déguisée sous les oripeaux de l’écologie, mais qui n’a qu’un objectif réel : l’éradication pure et simple de la voiture et la mise au pas des citoyens.

Bienvenue dans l’ère des zones 20 km/h, des pistes cyclables désertes, des chantiers permanents, des rues transformées en déserts urbains où seuls les piétons errent au milieu des vitrines vides.

Un sabotage organisé de la mobilité

À force de vouloir tout ralentir, on a tout bloqué. Interdictions, limitations, voies barrées, plans de circulation absurdes… Chaque décision semble pensée pour humilier l’automobiliste, le décourager, le faire fuir. Et ça marche : les habitants s’en vont, les clients aussi. Qui a envie de passer 40 minutes à tourner dans des sens interdits pour trouver un parking hors de prix à 800 mètres de la boutique ? Personne.

Les commerçants, eux, crèvent en silence, étranglés par l’effondrement de la fréquentation, pendant que les élus se félicitent de “verdir l’espace public”.

Des centres-villes transformés en musées vides

On nous avait promis des villes apaisées. On a des villes vides, silencieuses, figées. Le tissu économique s’effondre. Les loyers chutent. Les boutiques ferment. La vie s’en va. Et pendant ce temps, les grandes zones commerciales périphériques, elles, prospèrent… avec leurs parkings gratuits et accessibles. Cherchez l’erreur.

L’écologie punitive a gagné du terrain. Elle ne propose pas de solutions, elle impose des contraintes. Pas de transports publics renforcés. Pas d’infrastructures réellement pensées pour les familles, les professionnels, les personnes âgées. Juste des injonctions : “marchez”, “pédalez”, “acceptez”. Mais à quel prix humain et social ?

Le peuple contre les idéologues

Ce n’est plus de la politique, c’est une croisade idéologique, menée par une minorité d’élus coupés des réalités, obsédés par leur tableau Excel de “réduction d’émissions” et leur rêve d’un centre-ville façon écoquartier utopique, sans voitures, sans bruit, sans vie.

Mais les habitants, eux, n’en peuvent plus. Ils fuient vers les périphéries. Ce sont les classes moyennes qui partent, ce sont les artisans qui renoncent, ce sont les restaurateurs qui ferment. Le cœur des villes est sacrifié sur l’autel d’un fantasme de pureté écologique.

Et demain ? Des villes pour qui ? Pour quoi ?

Si nous laissons faire, bientôt il n’y aura plus rien à sauver. Plus de commerce local. Plus de mixité sociale. Plus de lien de proximité. Juste des espaces aseptisés où seuls les plus jeunes et les plus connectés circuleront… en trottinette électrique.

Il est temps de reprendre le contrôle. De dire non à cette écologie dogmatique. De défendre le bon sens, la liberté de circuler, la vie urbaine réelle.

Car la vraie ville n’est pas un musée vert, c’est un lieu de vie, de travail, de lien. Et aujourd’hui, elle est en train de mourir. Lentement. Systématiquement. Politiquement.

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