Grève : Valérie Pécresse menace de ne pas payer la RATP si le service minimum n’est pas assuré – LCI – LCI

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RETOUR DE BÂTON – La présidente d’Île-de-France Mobilités, autorité organisatrice des transports dans la Région, a annoncé qu’elle ne paierait pas la RATP pour la journée de ce vendredi 13 septembre, si le service minimum n’était pas assuré. Le contrat liant les deux institutions impose un service de 50% du trafic habituel sur l’ensemble du réseau.

Ce vendredi s’annonce comme une journée noire pour les usagers de la RATP. En raison d’une grève des agents qui contestent la réforme de leur régime de retraite, 10 lignes de métro sur 16 seront fermées. Le reste du réseau est extrêmement perturbé, qu’ils s’agissent des lignes de métro, de RER, de bus ou de tramway. 

Annoncé compliqué pour les voyageurs, ce vendredi pourrait également coûter cher à la RATP. Et pour cause, l’autorité en charge des transports dans la région Ile-de-France nous a fait savoir qu’elle ne paierait pas l’entreprise de transports, et ce pour l’ensemble de la journée, si le service minimum n’est pas assuré. Une décision prise par Valérie Pécresse, présidente de la structure. Mais qu’entend-elle par service minimum ? “Le contrat qui lie la RATP et Île-de-France Mobilités impose un service minimum de 50% du trafic habituel en heures de pointe sur l’ensemble du réseau”, nous explique l’institution régionale. Les prévisions pour ce vendredi sont bien en deçà. 

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Ce contrat se chiffre à plus de 3 milliards d’euros par an, selon Île-de-France Mobilités. Une journée représente donc plusieurs millions d’euros. Un coup dur pour la RATP.

En vidéo

Pourquoi cette grève à la RATP : les explications de Patrice Clos, secrétaire Général FO Transports

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