DIRECT. Pénurie de carburant : deux syndicats de la raffinerie TotalEnergies de Donges lancent un appel à l… – franceinfo

Retrouvez ici l’intégralité de notre live #CARBURANT

18h01 : Il est 18 heures, voici les titres :

#POLITIQUE Incident de séance à l’Assemblée nationale. Traité de “lâche” par un député RN, Bruno Le Maire demande des excuses au parti de Marine Le Pen. Les députés doivent voter, en première lecture, le projet de loi sur l’assurance-chômage. Suivez notre direct.

Elisabeth Borne a demandé aux préfets d’engager, “comme le permet la loi”, “la réquisition des personnels indispensables au fonctionnement des dépôts” d’Esso-ExxonMobil. Suivez notre direct.

Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a appelé ses homologues du G7 à aider à la création d’un bouclier aérien. Suivez notre direct.

#FOOT Kylian Mbappé souhaite quitter le Paris Saint-Germain, selon les informations de la direction des sports de Radio France, confirmant celles de RMC et du Parisien-Aujourd’hui en France.

17h46 : La raffinerie TotalEnergies de Donges (Loire-Atlantique) entre à son tour dans la grève, révèle Presse Océan. La CGT et FO appellent à la grève à partir de demain, 5 heures. “Aucune goutte de produit ne sortira du site à partir de demain”, assure au journal Fabien Privé Saint-Lanne, secrétaire de la CGT de cette raffinerie.

17h18 : “A partir du moment où il y a un accord majoritaire des syndicats (chez Esso pour l’instant) il est normal que la Première ministre prenne cette décision”, se félicite sur franceinfo Franck Dhersin, vice-président de la région Hauts-de-France, qui demandait ces réquisitions.

16h40 : Cinq hommes âgés de 19 à 22 ans ont été interpellés et placés en garde à vue, cette nuit dans le Val-de-Marne, pour avoir vendu de l’essence à la sauvette sur fond de pénurie de carburant, annonce le parquet de Créteil. Muni d’une vingtaine de bidons, un homme de 20 ans proposait de l’essence à 3,50 euros le litre à Arcueil (Val-de-Marne), selon le parquet, confirmant une information de BFMTV.

16h13 : “Je suis étonné que madame Borne ait choisi d’annoncer quelque chose d’illégal”, réagit sur franceinfo Emmanuel Lépine, secrétaire général de la fédération professionnelle de pétrole de la CGT, qui représente des stations Esso et Total. Il annonce que la CGT compte “saisir la justice en référé” dès que les arrêtés seront parus.

15h54 : Les grévistes ne cèdent pas. Le mouvement de grève qui touche la plupart des raffineries de France hexagonale a été reconduite chez TotalEnergies et Esso-ExxonMobil, malgré l’appel du gouvernement à suspendre le conflit “sans délai”. Le territoire métropolitain compte sept raffineries, dont deux seulement sont actuellement épargnées par la grève. Dans cet article, on fait le point sur la situation de ces sept raffineries.

(MAXPPP)

15h37 : “Le carburant du Rassemblement national, on le connaît, c’est la démagogie (…) Le #carburant nous en avons (…) il faut le faire sortir des raffineries (…) en respectant le dialogue social”, réplique @olivierveran en fustigeant les “amalgames” du RN.#DirectAN #QAG https://t.co/ufATqwGwuQ

15h19 : “Un désaccord salarial ne justifie pas de bloquer le pays” affirme @Elisabeth_Borne. >> La Première ministre annonce avoir demandé au préfet d’engager “la procédure de réquisition des personnels indispensables au fonctionnement des dépôts” de l’entreprise #Esso. #QAG https://t.co/ry1FQFBMGO

15h16 : Les deux raffineries d’EssoxxonMobil Notre-Dame-de-Gravenchon (Seine-Maritime) et Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône), ont en effet voté la poursuite de la grève, à l’appel de FO et la CGT, malgré la signature, hier, d’un accord salarial par deux organisations majoritaires à l’échelle du groupe mais pas des raffineries, a précisé la CGT.

15h14 : “Aujourd’hui, une partie des organisations veut poursuivre le mouvement. Nous ne pouvons pas l’accepter”, avait préalablement déclaré la Première ministre. “Il faut savoir terminer une grève dès lors que la satisfaction a été obtenue”, vient de répondre la cheffe du gouvernement à Mathilde Panot, présidente du groupe LFI.

15h11 : J’ai demandé aux préfets d’engager la procédure aux réquisitions des personnels indispensables au fonctionnement des dépôts d’EssoxxonMobil”, annonce Elisabeth Borne.

15h11 : “La situation que vivent nos compatriotes est difficile et à certains endroits, elle est même insupportable. Depuis le début du conflit social, le gouvernement a agi : nous avons renforcé l’approvisionnement des stations-service en mobilisant les stocks stratégiques de l’Etat (…) Je mesure pleinement l’impact sur la vie quotidienne de nos concitoyens. J’ai réuni hier les ministres concernés”, répond la Première ministre.

15h11 : “La France se bloque. Depuis quelques jours, des millions de Français ne peuvent plus circuler librement (…). Madame la Première ministre, vous avez commencé par nier la gravité de la situation (…) On croit rêver face à un tel déni. Une nouvelle fois, rien n’est anticipé, rien n’est géré. Nous vous demandons solennellement que le gouvernement fasse preuve de responsabilité et d’autorité”, attaque le député LR Eric Ciotti qui demande des réquisitions.

15h00 : Les questions au gouvernement débutent ! Elles commenceront notamment avec des questions d’Eric Ciotti (LR) et Mathilde Panot (LFI) sur la pénurie de carburant à la Première ministre. Suivez notre direct.

14h13 : Selon cette association, qui affirme fédérer 120 entreprises totalisant 50 000 salariés et près de 100 000 camions frigorifiques, “chez les transporteurs qui disposent de cuves, les réserves disponibles sont dans certains cas inférieures à une semaine”, tandis que “les autres transporteurs sont tributaires des stocks disponibles en station-service”.

14h05 : Une association fédérant 120 entreprises de transport frigorifique met en garde contre des “ruptures sur les produits alimentaires pour les Français” si les pénuries de carburant dues aux grèves perduraient.

14h16 : 14 heures, l’heure de se pencher sur les titres :

Moscou dit avoir mené de nouvelles frappes contre des cibles militaires et des installations électriques en Ukraine. Suivez notre direct.

Nouvelle séquence politique aujourd’hui avec la poursuite de l’examen du budget à l’Assemblée nationale, les questions au gouvernement mais aussi le vote du projet de loi de l’assurance-chômage. A suivre dans notre direct.

• La grève est reconduite chez TotalEnergies et Esso-ExxonMobil. On vous explique en quoi consistent les réquisitions envisagées par le gouvernement et on suit la situation en direct.

• L’ex-Premier ministre Edouard Philippe est convoqué le 24 octobre devant les juges d’instruction de la Cour de justice de la République (CJR) pour une éventuelle mise en examen dans l’enquête sur la gestion de l’épidémie de Covid-19.

13h40 : Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a annoncé sur RTL que l’exécutif envisageait d'”intervenir” pour débloquer les accès aux raffineries et aux dépôts de carburant. Le mot “réquisitions” a même été prononcé la veille dans une réunion tardive à Matignon. En quoi consiste le fait de “réquisitionner” des salariés du privé ?

(LOU BENOIST / AFP)

13h04 : Vous êtes plusieurs à me demander si les salariés des raffineries gagnent bien 5 000 euros par mois, comme l’affirme d’ailleurs TotalEnergies. ça tombe bien, nous venons de publier un article à ce sujet, je vous invite à le lire.

13h03 : Donc j’ai vu que le salaire moyen chez total est de 5000€, vous confirmez ? Intéressement compris Normal le partage des profits, mais avec mes 900€ j’aimerai ne rien perdre à cause des caprices de riches

12h54 : “Le gouvernement ne peut pas prendre de décision unilatérale” de réquisition des salariés grévistes des raffineries et des dépôts de carburants, assure sur franceinfo l’avocate Judith Krivine, spécialisée dans le droit du travail et la défense des syndicats et des salariés.

C’est pourtant une solution que le gouvernement envisage pour permettre l’approvisionnement des stations-service Esso et Total en carburant, alors que le secteur est touché depuis une dizaine de jours par un mouvement de grève à l’appel de la CGT.

(NICOLAS TUCAT / AFP)

12h02 : Voici l’heure du point sur l’actualité de la mi-journée.

• La grève est reconduite chez TotalEnergies et Esso-ExxonMobil. On vous présente les leviers du gouvernement pour sortir de la crise et on suit la situation en direct.

• L’ex-Premier ministre Edouard Philippe est convoqué le 24 octobre devant les juges d’instruction de la Cour de justice de la République (CJR) pour une éventuelle mise en examen dans l’enquête sur la gestion de l’épidémie de Covid-19.

De nouveaux bombardements russes ont touché la région de Lviv. “Une infrastructure critique” a laissé un tiers de la ville privé d’électricité, annonce le maire. Suivez notre direct.

• Le directeur général de la Coupe du monde de rugby 2023, Claude Atcher, a été révoqué. Il avait été mis à pied à titre conservatoire fin août en raison “de pratiques managériales alarmantes”.

Cinq Français au total sont retenus à l’heure actuelle en Iran, annonce la ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna, qui appelle à leur “libération immédiate”.

11h53 : Victime comme d’autres professions de la pénurie de carburant, les auto-écoles s’alarment de la situation. Elles réclament un accès prioritaire pour continuer à travailler. “On se retrouve à passer par quatre, cinq stations soit fermées, soit avec trop d’attente pour faire le plein en pleine leçon. On se retrouve contraints d’aller en banlieue assez loin pour trouver des stations moins chargées”, relate à franceinfo un moniteur.

11h46 : Le gouvernement a appelé à la levée “sans délai” de la grève dans les dépôts de carburants en menaçant d’“intervenir” pour lever les “blocages”. Comment l’exécutif entend-il concrètement faciliter l’approvisionnement à la pompe ? Franceinfo vous livre des éléments de réponse.

10h58 : VIDÉO. Pénurie de #carburants : des heures d’attente devant les stations-service cette nuit à #Marseille©️Christian Mathieu👉https://t.co/KRlB6KzXzj https://t.co/pVU4sQzAI4

11h00 : De nombreux Marseillais ont fait la queue cette nuit dans les rares stations-service proposant encore du carburant. A certains endroits, les automobilistes faisaient la queue pendant des heures en attendant de pouvoir accéder aux pompes, rapporte France 3 Provence-Alpes-Côte d’Azur.

10h11 : Malgré les appels à la négociation et la pression mise par le gouvernement, “les salariés ont revoté à une large majorité pour la poursuite de la grève, on est toujours en attente de précisions en matière de négociations par la direction”, a assuré à l’AFP Eric Sellini, coordinateur CGT pour TotalEnergies.

10h09 : Comme Esso-ExxonMobil, TotalEnergies a reconduit la grève pour les salaires dans ses raffineries de carburant, à l’appel de la CGT.

10h00 : Alors que la pénurie de carburant se poursuit, mardi 11 octobre, une question se pose : que risquent les salariés qui ne parviennent plus à faire le plein et se retrouvent, de fait, sans moyen de transport ? Réponse dans ce reportage de France 2.

10h10 : La grève a été reconduite malgré la signature d’un accord majoritaire sur les salaires par d’autres syndicats. La CGT et FO ont pour leur part rejeté cet accord. “Le mouvement a été reconduit ce matin à 6 heures, parce que ça ne correspond pas aux revendications des salariés grévistes qui demandent du pouvoir d’achat”, a justifié Christophe Aubert, délégué syndical central CGT, à l’AFP. Selon lui, l’amélioration de la proposition formulée par la direction consiste essentiellement en une prime.

09h43 : La CGT et FO ont reconduit la grève qui touche les deux raffineries françaises du groupe Esso-ExxonMobil.

09h13 : Il est l’heure du traditionnel point sur l’actualité.

Après les frappes qui ont fait au moins 19 morts et 105 blessés, l’Ukraine a accusé la Russie d’être un Etat terroriste. Ces bombardements seront au centre des discussions du G7.

L’Assemblée nationale a entamé l’examen du projet de loi finances 2023, que le gouvernement se prépare à faire adopter sans vote. Franceinfo vous résume tout ce que vous devez savoir sur le 49.3.

• Le gouvernement a appelé à lever “sans délai” les blocages et a menacé d’“intervenir” par la voix d’Olivier Véran, son porte-parole, interrogé sur RTL. Suivez notre direct.

Le Japon a rouvert ses portes aux touristes étrangers. Le pays a levé entièrement ses restrictions aux frontières pour faire face à la pandémie de Covid-19.

Cinq Français au total sont retenus à l’heure actuelle en Iran, annonce la ministre française des Affaires étrangères Catherine Colonna, qui appelle à leur “libération immédiate”.

08h57 : Entre 150 et 200 salariés non-grévistes ont manifesté hier devant les grilles de l’usine de raffinage ExxonMobil à Port-Jérôme-sur-Seine (Seine-Maritime), rapporte France Bleu Normandie. Une action pour exprimer leur souhait de reprendre le travail après 21 jours d’une grève qui – disent-ils – met en péril l’avenir du site.

08h44 : Comme ses collègues du gouvernement, Bruno Le Maire a brandi la menace des réquisitions. “Si on voit que c’est bloqué, nous n’aurons pas d’autre moyen que de réquisitionner les moyens nécessaires pour libérer les dépôts et faire fonctionner les raffineries”, prévient-il.

08h42 : 🗣 Grève chez Total et Exxon ➡️ “Je dis à tous nos compatriotes qui sont bloqués que nous sommes avec eux”, réagit Bruno Le Maire. “Il n’y a qu’une seule solution : le déblocage sans délai, par la négociation. La main de la négociation salariale a été tendue.” https://t.co/uQcx41pz9j

08h40 : “Pour moi, le timing, il se chiffre plutôt en terme d’heures, à la limite de jours, que de semaines parce que cela n’a que trop duré.”

08h41 : Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie, est l’invité de franceinfo pour évoquer la situation des carburants. Il appelle à la reprise des négociations chez Total. “Il faut que dans les heures qui viennent un accord puisse être trouver”, assure-t-il. Nos compatriotes ne peuvent pas êtres les victimes collatérales d’un conflit entre une organisation syndicale, la CGT, et une entreprise privée, Total”, insiste-t-il.

(FRANCEINFO)

08h34 : Carburant : “Nous discutons avec Total pour une prolongation de leur ristourne”, @olivierveran dans #RTLMatin avec @amandine_begot https://t.co/Uvs4Pcpdij

08h34 : Enfin, Olivier Véran a confirmé ce qu’assurait Clément Beaune sur RMC, à savoir que le gouvernement discutait “avec Total en vue qu’il puisse y avoir une prolongation sur quelques jours de la ristourne” mise en place par le groupe.

08h28 : Olivier Véran estime qu’il faudra “quelques jours” retrouver “un fonctionnement normal” dans les régions les plus touchées. Le porte-parole du gouvernement a assuré que “ce sera le cas dans les 15 jours”, soit avant les congés de la Toussaint. Il a par ailleurs jugé anormal que “quelques profiteurs de grève” aient fait bondir “les prix de l’essence à la pompe” dans certaines stations.

08h30 : Sur RTL, Olivier Véran a confirmé la différence de situation entre Exxon, où “il n’y a plus aucune raison qu’il y ait le moindre blocage” après l’accord entre la direction et les syndicats lundi, et TotalEnergies, où “la CGT continue à appeler à bloquer”, ce que “nous considérons excessif et anormal”. “La direction de Total a raison de demander la levée des blocages avant de discuter”, selon lui.

08h15 : Olivier Véran, le porte-parole du gouvernement, veut mettre une “saine pression” sur les épaules de l’ensemble des acteurs pour qu’ils entendent le message : “Le blocage des raffineries et des centres de dépôt ne doit pas rimer avec le blocage de la vie de millions de Français.” Si la situation l’exige, des réquisitions du personnel seront menées pour normaliser la situation.

08h09 : #Carburant : “Le gouvernement appelle à ce que la totalité des blocages soient levés sans délai, sans quoi nous ferons le nécessaire pour les lever”, @olivierveran dans #RTLMatin avec @amandine_begot https://t.co/uTwmBJJ9kl

08h10 : Le gouvernement appelle à lever “sans délai” les blocages des dépôts de carburants et menace d’“intervenir”, selon son porte-parole Olivier Véran, invité de la matinale de RTL.

08h09 : “Ce serait la guerre.”

Le menace des réquisitions pour débloquer la situation autour des carburants a fait réagir Emmanuel Lépine, le secrétaire général de la CGT de la Fédération professionnelle de pétrole. “Nicolas Sarkozy avait commis cet acte illégal et la France a été condamnée en 2011, l’année suivante, puisque ça enfreint la convention 87 de l’Organisation internationale du travail [sur le droit de grève], donc si Emmanuel Macron veut également faire condamner l’Etat et surtout veut une extension rapide sur les autres secteurs économiques parce que là je peux vous garantir que ce serait la guerre, qu’il le fasse”, a-t-il prévenu.

07h59 : 🎙 Clément Beaune, ministre des Transports : “Chez Esso, il y a eu un accord hier en fin de journée qui devrait permettre de débloquer une partie de la situation. Pour Total, le dialogue social est toujours enlisé”. #ApollineMatin https://t.co/bQ02HFEZXO

07h56 : Sur RMC, Clément Beaune, le ministre délégué chargé des Transports, a assuré que le gouvernement n’allait pas “laisser la situation pourrir encore”. Si la situation ne se débloque pas, “on prendra des mesures supplémentaires”, a-t-il ajouté, sans préciser lesquelles. Il a toutefois précisé qu’un “accord” chez Esso doit permettre de débloquer “dans la journée” une partie de la situation. En revanche, elle est “plus bloquée” chez Total.

07h49 : Une “réquisition” des salariés grévistes appelée également par François Asselin, le président de la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CPME). “Quand c’est comme ça malheureusement, il faut faire preuve d’un peu d’autorité”, assure-t-il sur franceinfo. Il veut que les salariés “dont on a besoin pour alimenter les camions citernes qui eux-mêmes vont alimenter les stations-service”, soient réquisitionnés. “J’en appelle à la responsabilité de tous ces personnels”, a-t-il déclaré.

07h41 : Face à la situation toujours plus tendue dans les stations-service de France, le gouvernement entend ramener tout le monde à la table des négociations de façon rapide et efficace. Quitte à menacer. Il envisage notamment des “réquisitions” de salariés des raffineries. Cela peut être décidé par les préfets au nom de “la continuité du service public” notamment. Concrètement, cela consisterait à libérer les piquets de grève, si besoin en faisant appel aux forces de l’ordre, afin de faire travailler des salariés désignés.

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p id=”lmsg-6344f739a37a448aff10015b” class=”message custom”>07h24 : Les quotidiens régionaux s’intéressent, eux, à la pénurie de carburant qui touche le pays, avec les mêmes photos de fil d’attente aux stations-services, comme pour Le Dauphiné Libéré ou Le Berry Républicain, ou celles des pompes hors-service, pour L’Ardennais et L’Alsace.

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