Guerre en Ukraine : l’attaque russe dans une gare du centre du pays a fait au moins 22 morts, annonce Volod… – franceinfo

Retrouvez ici l’intégralité de notre live #UKRAINE

23h54 : “Cela montre d’une part la détermination de Moscou à poursuivre la guerre, fête nationale ou pas. Cela montre aussi sa volonté de frapper des infrastructures utilisées par les Ukrainiens, notamment les installations ferroviaires. Le chemin de fer est essentiel dans cette guerre, des deux côtés.”

Le général Jérôme Pellistrandi a réagi sur franceinfo au bombardement de la gare de Tchaplyne, qui a fait au moins 22 morts et 50 blessés selon le dernier bilan communiqué par le président Volodymyr Zelensky.

22h58 : “Pour le moment, il y a 22 morts, dont cinq personnes qui ont brûlé dans une voiture” et un garçon de onze ans, a déclaré Volodymyr Zelensky dans son allocution du soir. Plus tôt dans la journée, il avait annoncé un bilan d’au moins 15 morts et 50 blessés, au début d’un discours devant le Conseil de sécurité de l’ONU.

23h51 : Le bilan des victimes de la frappe russe contre la gare ferroviaire de Tchaplyne, dans la région de Dnipropetrovsk dans le centre-est du pays, passe à 22 morts selon un nouveau bilan annoncé par le président ukrainien Voldymyr Zelensky sur Telegram.

22h30 : 22h30, c’est l’heure du “best-of” des contenus du jour sur franceinfo :

22h14 : Le match entre le Rukh Lviv et le Metalist Kharkiv en D1 ukrainienne de football a duré presque 4h30 à cause d’alertes aériennes. Elles ont forcé les joueurs à quitter la pelouse. Les deux équipes ont au total passé 145 minutes dans un abri, sans qu’aucune frappe ne soit détectée dans la zone.

21h16 : “Nous avons des informations selon lesquelles la Russie continue de préparer des simulacres de référendum” à Kherson, à Zaporijjia, dans les régions séparatistes de Donetsk et Louhansk, ainsi qu’à Kharkiv, a déclaré la porte-parole de l’exécutif américain. Les Etats-Unis s’attendent à ce que la Russie “manipule les résultats de ces référendums pour prétendre que le peuple ukrainien veut rejoindre la Russie”, a également affirmé John Kirby.

21h15 : Moscou pourrait annoncer dès cette semaine un ou plusieurs référendums “illégitimes” en Ukraine occupée pour tenter de justifier une annexion de territoires ukrainiens à la Russie, a déclaré à la presse un porte-parole de la Maison Blanche, John Kirby.

(SAUL LOEB / AFP)

20h59 : A quoi ressemblait le pays il y a 31 ans, lors de sa déclaration d’indépendance ? Le 24 août 1991, les Ukrainiens proclament leur indépendance face à l’Union soviétique. Si le pays est déjà une grande terre agricole, il n’a pas encore le poids géopolitique qu’on lui prête aujourd’hui. Les détails dans notre article.

(ANATOLY SAPRONENKOV / AFP)

20h54 : Cette frappe, qui est intervenue dans une région située en-dehors du Donbass, survient alors que l’Ukraine célèbre le jour de l’Indépendance, qui commémore sa séparation de l’URSS en 1991. Elle intervient aussi alors que le pays entre dans son septième mois de la guerre contre la Russie, lancée le 24 février.

23h52 : Le président ukrainien a donné des précisions sur le bombardement à la gare de Tchaplyne, dans la région de Dnipropetrovsk. “Quatre wagons passagers sont en feu, a déclaré Volodymyr Zelensky devant le Conseil de sécurité de l’ONU. Les sauveteurs travaillent sur place, mais le bilan des victimes peut malheureusement s’alourdir.”

20h23 : “Je viens de recevoir une information sur une frappe de missile russe sur une gare dans la région de Dnipropetrovsk (…) Au moins 15 personnes ont été tuées et environ 50 blessées”, a déclaré Volodymyr Zelensky au début de son discours.

20h21 : Le bombardement a également fait au moins 50 blessés, selon le bilan provisoire communiqué par Volodymyr Zelensky, qui s’exprimait par visioconférence avec des représentants de l’ONU.

20h23 : Au moins quinze personnes sont mortes dans une frappe russe sur une gare ferroviaire dans la région de Dnipropetrovsk , dans le centre du pays, annonce le président Volodymyr Zelensky.

20h08 : Près de 500 attaques ont visé des centres de santé dans le pays au cours des six premiers mois de l’invasion russe, annonce l’Organisation mondiale de la santé. 98 personnes ont été tuées dans ces attaques, et au moins 134 autres ont été blessées.
Capture écran d'une vidéo publiée par la police nationale ukrainienne le 9 mars 2022, montrant un bâtiment endommagé d'un hôpital pour enfants, à Marioupol, dans le sud-est de l'Ukraine. (HANDOUT / NATIONAL POLICE OF UKRAINE / AFP)

(HANDOUT / NATIONAL POLICE OF UKRAINE / AFP)

20h03 : Il est 20 heures, on fait un nouveau point sur l’actualité :

Le ministre de l’Economie et des Finances Bruno Le Maire prévient qu’il ne faut pas attendre d’amélioration sur le front de l’inflation avant début 2023″.

Deux jours après l’accident mortel entre une ambulance et une trottinette qui a coûté la vie à deux mineurs, le conducteur de l’ambulance a été mis en examen pour homicide involontaire et placé sous contrôle judiciaire, annonce le parquet de Lyon (Rhône).

Devant le Conseil de sécurité, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a dénoncé une guerre “absurde” en Ukraine.Suivez notre direct.

Dans un entretien exclusif à Radio France, le directeur de la prison de Fresnes (Val-de-Marne) explique que “le choix des épreuves était inadapté” pour l’événement “Kohlantess” organisé au centre pénitentiaire, mais que cette journée “avait énormément de sens”.

19h56 : Plus tôt dans l’après-midi, vous avez interrogé Olivier Kempf, directeur du cabinet stratégique La Vigie. Il a analysé l’état des forces en présence dans la guerre en Ukraine, six mois après le début de l’invasion russe. Ses déclarations sont à retrouver juste ici.

(METIN AKTAS / ANADOLU AGENCY / AFP)

17h56 : En six mois de conflit, près de 500 attaques ont ciblé des centres de santé en Ukraine, provoquant la mort d’au moins 98 personnes, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Au moins 134 personnes ont également été blessées dans ces attaques visant des centres de soin.

17h32 : Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, s’est exprimé dans un message vidéo devant le Conseil de sécurité de l’ONU aujourd’hui, six mois après le début de l’offensive russe en Ukraine. La Russie doit stopper son “chantage nucléaire” et se retirer de la centrale de Zaporijjia, a-t-il martelé.

17h10 : Antonio Guterres a également notamment répété, face au Conseil de sécurité, “sa profonde inquiétude” concernant les activités militaires autour de la centrale nucléaire de Zaporijjia (Ukraine). “Toute nouvelle escalade de la situation pourrait conduire à l’autodestruction.”

17h07 : “Aujourd’hui marque un jalon triste et tragique, les six mois depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie le 24 février.” Devant le Conseil de sécurité, le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a dénoncé une guerre “absurde” en Ukraine, évoquant “les conséquences” de ce conflit, pour les Ukrainiens mais également “bien au-delà de l’Ukraine”.

17h14 : C’est la fin de cet échange sur le conflit en Ukraine avec Olivier Kempf, directeur du cabinet stratégique La Vigie et chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique. Merci à vous pour vos questions !

17h00 : Pour l’Ukraine, il s’agit d’une guerre totale, d’une guerre existentielle. Le président Volodymyr Zelensky est dans une position très inconfortable, car il a trois objectifs en même temps : d’abord, les opérations militaires ; ensuite, entretenir le feu sacré de la population, et en même temps, entretenir la flamme de l’intérêt occidental car c’est ce qui lui permet de tenir. Il doit faire ces trois choses en même temps, ce qui explique aussi son discours disant : “Nous luttons jusqu’à la victoire”. Ce qui, sur le terrain, paraît difficile.

Quant à la population ukrainienne, elle connaît six à sept millions de déplacés internes, ainsi que six à sept millions de réfugiés. Autrement dit, entre un tiers et 40% de la population ukrainienne n’est plus chez elle, donc il s’agit d’une société profondément affectée par la guerre. Mais jusqu’à présent, elle a fait bloc. Jusqu’à présent, il n’y a pas de signe de lassitude. Néanmoins, l’hiver arrive. Ce soutien tient pour l’instant, mais il peut être fragile.

16h55 : Le peuple ukrainien est-il prêt à tout pour défendre leur pays comme leur président l’annonce dans un discours ? Y a-t-il des signes de lassitude ?

17h01 : Cela étant, Moscou doit présenter un bilan positif, et pour l’instant ce n’est pas vraiment le cas si l’on regarde ce qui avait dit au départ. Le Kremlin est néanmoins allé trop loin pour revenir en arrière. Il est impensable que Moscou accepte de rendre ce qui a été pris au niveau de Kherson et de Zaporijjia. Il va continuer à pousser pour grignoter encore. S’agit-il d’une porte de sortie ? Pas vraiment. Donc la situation est assez bloquée.

17h02 : Vladimir Poutine souhaitait, à l’origine, décapiter le pouvoir à Kiev. Il n’a pas réussi. Il voulait prendre le contrôle d’une grande partie de l’Ukraine, mais il n’a pris le contrôle que d’une partie seulement. L’objectif dans l’oblast de Louhansk est atteint, ce n’est toutefois pas le cas dans l’oblast de Donetsk. Dans l’oblast de Kherson, il lui manque encore quelques parties. La question est ensuite de savoir s’il aurait envie d’aller jusqu’à Odessa : la réponse est oui, mais il ne semble pas en avoir les moyens. C’est quelque chose qu’il ne présentera probablement pas, car cela paraît inatteignable.

16h50 : Bonjour, quelles peuvent être les portes de sortie “acceptables” pour Poutine pour mettre fin à l’offensive ? La conquête du Donbass ? Le contrôle total de la façade maritime ? La chute du pouvoir de Kiev ? Les objectifs deviennent assez flous (pour peu qu’ils aient pu être clairs…) Merci !

16h44 : Nous nous dirigeons donc vers un conflit gelé, mais un conflit gelé n’est pas un non-conflit : il continuera à y avoir des échanges de tirs, des frappes d’artillerie. Il y aura des morts et des blessés, mais en nombre probablement moins important que ce que l’on a connu ces six derniers mois. Cela renvoie à une situation comparable à ce que l’on a connu entre 2015 et 2022 dans le Donbass.

16h43 : A partir de cet automne, le mauvais temps va entraver les manœuvres. Surtout qu’il n’y a pas eu beaucoup de mouvements au cours de l’été. Ils vont encore plus se figer avec l’hiver. Il faudra probablement attendre la fin du dégel avant de revoir des mouvements. Les deux parties vont en profiter pour reconstituer leurs forces : aussi bien les ressources humaines, qui ont été éprouvées, en quantité et en qualité ; elles vont probablement réfléchir à de nouvelles tactiques, à l’organisation d’état-major et de commandement ; et puis, tout ce qui concerne le matériel et l’équipement, avec des armements et des munitions. Les Russes compteront sur eux-mêmes et les Ukrainiens compteront sur l’aide occidentale.

16h43 : Bonjour monsieur, à l’approche de l’hiver, est-ce que la Russie sera en position de force ?

16h38 : Cette manœuvre là a commencé il y a cinq ou six semaines. On a beaucoup parlé de la contre-offensive ukrainienne vers Kherson, mais jusqu’à présent, il s’agit plutôt de frappes visant à affaiblir le dispositif logistique russe, et peut-être lancer cette manœuvre offensive sur le terrain d’ici quelques semaines. Donc pour l’instant, la contre-offensive, ce n’est pas de la manœuvre, c’est juste de la frappe dans la profondeur contre le dispositif logistique russe.

16h38 : La stratégie de corrosion est finalement la guerre d’usure, version ukrainienne, qui consiste à appuyer des feux sur la première ligne de contact mais surtout à essayer de casser toute la ligne d’approvisionnement des Russes : à la fois les dépôts (carburant, munitions, matériel, postes de commandement) et les axes logistiques, notamment les ponts. C’est particulièrement pertinent dans la région de Kherson : la rive droite du Dniepr n’est reliée à la rive gauche que par deux ponts. Cela freine les efforts russes dans cette zone-là.

16h37 : Question pour M.Kempf : que pensez-vous de la notion de “stratégie de corrosion” employée par certains experts pour décrire l’action de l’Ukraine notamment dans la région de Kherson? Est-ce pour vous une notion pertinente? A-t-elle des chances de succès ?

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p id=”lmsg-6306366ba37a448aff0f7372″ class=”message custom”>16h32 : Les données du ministère de la Défense russe sont assez faibles : ils vont officiellement dire qu’il y a moins de 10 000 morts. Des estimations occidentales annoncent 15 000 morts parmi les militaires russes, voire 20 000 morts. Il y a probablement au moins une dizaine de milliers de décès. Mais il faut rester prudent, il s’agit d’une estimation qui ne s’appuie pas sur des données objectives.

Comment cela est-il accueilli par la société russe ? Nous avons peu d’indices, mais nous n’avons pas encore beaucoup d’échos de mouvements de mères de soldats comme il y avait pu en avoir au moment de la guerre en Afghanistan. Après, la Russie contrôle énormément l’information. Bien évidemment, il n’y aura aucune voie discordante qui apparaîtra dans les médias de grande diffusion.

16h32 : Bonjour. A-t-on une idée du nombre de morts russes dans ce conflit ? Quelle perception en ont les Russes ? Merci !

16h26 : L’enjeu est aussi celui de l’approvisionnement électrique de l’Ukraine. Zaporijjia fournissait un quart du courant électrique au pays. Je ne sais pas si cela a été coupé, mais il s’agit potentiellement d’une source majeure d’électricité pour l’Ukraine désormais sous contrôle russe. Il s’agit d’un des enjeux sous-jacents de cette centrale.

16h25 : Après, la centrale se trouve finalement sur une ligne de front. Elle est à la jointure entre les territoires ukrainiens contrôlés par les Russes et les territoires ukrainiens contrôlés par Kiev. Il semble que les Russes stationnaient dans l’enceinte de la centrale des dépôts de munitions, de matériel, en se disant que ces dépôts les protégeraient, car ils sont à côté d’une centrale nucléaire. Il y aurait eu des obus tombés sur la centrale : les Russes et les Ukrainiens s’accusent mutuellement, ce qui a provoqué une action diplomatique. Les Russes sont plus ou moins entrés dans cette négociation. En conclusion, il y a un risque radioactif, qui semble malgré tout maîtrisé. Cette affaire est devenue une affaire politique, le sujet est tombé dans les relations internationales.

16h22 : Il s’agit de nucléaire civil, il ne s’agit pas d’une bombe nucléaire militaire. Le risque est radioactif civil. Vous pouvez avoir des accidents de centrale civile, comme ce qui s’est passé à Tchernobyl. Ce risque est évident. Si le cœur du réacteur nucléaire semble très protégé, tous les objets et accessoires faisant fonctionner la centrale le sont moins : cela peut provoquer des dysfonctionnements qui peuvent avoir des conséquences évidentes. Il y a un risque d’incident voire d’accident radioactif sur cette centrale.

16h22 : Bonjour, la menace autour de la centrale nucléaire est-elle réelle ? Est-il vraiment raisonnable de penser que Monsieur Poutine ou un autre belligérant irait aussi loin après avoir subi les conséquences directes de Tchernobyl ? Ne se trouve-t-on pas dans un processus de désinformation et de chantage au nucléaire comme pendant la Guerre Froide ?

16h15 : Donner un chiffre précis est très difficile, d’autant qu’il y a les déclarations et il y a la réalité des transferts. L’ensemble des pays européens et nord-américains ont fourni d’abord du matériel, de différents types et de différente qualité, puis ont donné de l’argent. Ils ont également accueilli des réfugiés ukrainiens. Il y a eu des aides beaucoup moins visibles mais importantes, comme la formation et l’entraînement de combattants ukrainiens, soit sur le matériel transmis, soit des choses plus générales. Et puis il y a des appuis en matière de renseignement, d’observation du champ de bataille, ainsi qu’un appui cyber et satellitaire.

16h13 : Bonjour, savez-vous à combien s’élève l’aide militaire totale fournie par les États-Unis à l’Ukraine depuis le début du conflit ? Merci

16h10 : La question, ensuite, est leur acheminement vers le front. On voit bien qu’il y a une manœuvre ukrainienne de frappes sur ces dépôts de munitions. Ces frappes sont permises par des moyens occidentaux. Les Ukrainiens ont réussi à réduire la pression de feu russe, mais les Russes ont les moyens de persévérer et de maintenir une pression suffisante sur l’ensemble du front. Et donc, on a eu un rééquilibrage des deux forces.

16h12 : Les Russes ont déstocké beaucoup de vieux armements, de vieux canons et de vieux chars. Cela étant, ils avaient des stocks : ils ont débloqué des stocks de l’Union soviétique, ce qui donne une certaine profondeur de ressources. Bien sûr, ce sont des armes vieilles, imprécises, mais elles permettent aux Russes d’animer le front, d’avoir une action offensive d’artillerie sur le front. Au niveau des munitions, il y avait des stocks. Les usines de fabrication de ces munitions sont pour la plupart encore en Russie. Comme il s’agit de munitions de masse, les Russes ont probablement de la capacité pour tenir dans la durée.

16h10 : Bonjour, les Russes ont ils encore beaucoup de stock d’armes et pour combien de temps au rythme où ils les utilisent depuis 6 mois de guerre. D’autre part, ont ils les moyens de les fabriquer à la demande des besoins ? Merci pour vos infos

16h02 : Les Russes ont 100% de l’oblast de Louhansk. Ils tiennent 66 à 68% de l’oblast de Donetsk. Le front est aujourd’hui quasiment à l’arrêt depuis trois semaines. Il y a eu très peu d’évolution depuis la chute de Severodonetsk et Lyssytchansk. Les gains territoriaux sont depuis très faibles et ils sont concentrés soit autour de Bakhmout, soit au niveau des faubourgs de Donetsk. Il y a eu quelques très faibles progressions russes, au maximum quelques villages.

16h03 : Bonjour M. Kempf. Actuellement, quel est le pourcentage de la superficie du Donbass controlé par les séparatistes et l’armée russe ? Ce front est-il à l’arrêt ou l’un des camps gagne-t-il du terrain ?

15h57 : Nous accueillerons dans quelques minutes dans ce live Olivier Kempf, directeur du cabinet stratégique La Vigie et chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique. Il va répondre à vos questions sur l’état des forces ukrainiennes et russe et les suites de la guerre en Ukraine. N’hésitez pas à continuer de nous interroger à ce sujet.

17h03 : Six mois après le lancement de l’offensive russe en Ukraine, le Guardian (lien en anglais) revient en images sur le conflit, à l’heure où l’Ukraine célèbre également son Jour de l’indépendance.

15h35 : What happens in Ukraine matters to us all. That is why I am in Kyiv today. That is why the UK will continue to stand with our Ukrainian friends. I believe Ukraine can and will win this war.

15h34 : Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, est arrivé en Ukraine à l’heure des célébrations pour le Jour de l’indépendance, et six mois après le début de l’offensive russe. “C’est la troisième fois que Boris Johnson est en Ukraine depuis le début de l’invasion russe. Tous les pays ne sont pas si chanceux d’avoir un tel ami”, a déclaré le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, en le recevant.

15h20 : Bonjour @Kat, en effet, Lucas Broucq, suppléant du député RN de Dordogne Serge Muller, est venu perturber un rassemblement de familles ukrainiennes célébrant le Jour de l’indépendance de leur pays à Bergerac (Dordogne), rapporte France Bleu Périgord. Il a invectivé plusieurs participants à l’événement et s’est présenté avec un drapeau ressemblant à celui de l’une des républiques séparatistes autoproclamées du Donbass en Ukraine. Une enquête a été ouverte pour provocation à la haine raciale.

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