DIRECT. Brexit : La “première réaction” du Parlement européen à l’offre du gouvernement britannique n’est “… – Franceinfo

Retrouvez ici l’intégralité de notre live #BREXIT

21h39 : Le Premier ministre Boris Johnson, dont la famille se déchire sur le Brexit comme celle de nombreux Britanniques, a révélé que sa mère avait voté pour la sortie de l’UE, dans son discours au congrès du parti conservateur. Citant sa mère, “autorité suprême dans ma famille”, il a lancé à l’adresse de ceux qui scrutent les divisions chez les Johnson : “J’ai gardé un as dans ma manche, ma mère a voté pour la sortie” de l’Union européenne lors du référendum de 2016.

20h26 : “Elle n’est pas positive” car “nous ne pensons pas” que cette proposition présente “les garanties nécessaires dont l’Irlande a besoin”, a ajouté le responsable, après une réunion avec le négociateur en chef de l’UE, Michel Barnier.

20h25 : La “première réaction” du Parlement européen à l’offre du gouvernement britannique sur le Brexit n’est “pas positive”, a déclaré ce soir le député Guy Verhofstadt, qui préside le groupe chargé du divorce au sein de cette assemblée.

20h00 : Il est 20 heures, voici un point sur l’actualité :

Le Premier ministre britannique veut suspendre le Parlement pour quelques jours à partir de mardi, comme il est de tradition avant un discours de politique générale lu par la reine Elizabeth II, prévu le 14 octobre. Boris Johnson a proposé cet après-midi son plan à Bruxelles, avec une alternative sur le sort de la frontière irlandaise. Suivez notre direct.

“Les résultats rendus publics font apparaître un état habituel de la qualité de l’air sur le plan sanitaire en dehors du site”, a de nouveau affirmé la ministre de l’Environnement, auditionnée en ce moment à l’Assemblée. Suivez son intervention dans notre direct.

• Le décathlonien Kevin Mayer, grand favori pour un deuxième titre mondial, a débuté ses dix épreuves en battant sur record personnel sur 100 m (10.50) aux Mondiaux de Doha (Qatar). Suivez les épreuves ici.

• 27 000 personnes ont manifesté cet après-midi pour la “marche de la colère”, selon les syndicats qui saluent “une mobilisation record” et “historique”. Quelques incidents ont par ailleurs éclaté entre “gilets jaunes” et policiers.

19h36 : Boris Johnson avait suspendu une première fois le Parlement, mais pour cinq semaines, avant que la Cour suprême n’annule cette décision, dénoncée par ses opposants comme une manoeuvre pour museler les députés et précipiter le Royaume-Uni vers un Brexit sans accord au 31 octobre. Traditionnelle, la suspension annoncée ce mercredi ne devrait pas poser de problème légal.

19h36 : Le Premier ministre britannique Boris Johnson veut suspendre le Parlement pour quelques jours à partir de mardi, comme il est de tradition avant un discours de politique générale lu par la reine Elizabeth II, prévu le 14 octobre, ont annoncé ses services.

19h30 : Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, veut de nouveau suspendre le Parlement de mardi au 14 octobre.

19h00 : Bonjour . Je vais essayer de faire court et clair !

• Le “backstop” prévoit de créer une union douanière regroupant le Royaume-Uni et l’UE si aucune solution n’est trouvée d’ici juillet 2020 au casse-tête de la frontière irlandaise. En clair, les marchandises circuleraient librement entre le continent et l’archipel britannique, et l’Irlande du Nord respecterait les règles et les normes du marché commun européen. Le Royaume-Uni n’aurait pas le droit de négocier d’autres accords de libre-échange, pour éviter que des produits d’un pays tiers n’aient un accès facilité au marché européen via l’Irlande du Nord. Le “backstop” est toutefois censé être temporaire : il doit permettre à Londres et Bruxelles de négocier des accords sur la frontière irlandaise.

• La proposition de Boris Johnson prévoit, elle, de créer une “zone réglementaire” sur toute l’île d’Irlande (avec l’accord des Nord-Irlandais, qui devrait être renouvelé tous les quatre ans). L’Irlande du Nord respecterait alors les normes du marché commun européen mais il y aurait des contrôles sur les marchandises transitant de la Grande-Bretagne vers l’Irlande du Nord. Par ailleurs, le Royaume-Uni tout entier sortirait de l’union douanière européenne. C’est un point important pour les pro-Brexit, qui estimaient que le “backstop” empêcherait un divorce total avec l’UE en le maintenant dans une union douanière commune.

19h00 : Bonjour. C’est quoi la différence entre le “backstop” initial et le nouveau plan de Boris Johnson ?

18h18 : Il est 18 heures. Avant de passer la main, voici un point sur l’actualité :

• Boris Johnson a proposé cet après-midi son plan à Bruxelles, avec une alternative sur le sort de la frontière irlandaise. Retrouvez plus de détails dans notre article.

• Le décathlonien Kevin Mayer est actuellement en quête d’or, aux Mondiaux d’athlétisme de Doha. Il a notamment battu son record personnel sur le 100 mètres. Suivez les épreuves ici.

• 27 000 personnes ont manifesté cet après-midi pour la “marche de la colère”, selon les syndicats qui saluent “une mobilisation record” et “historique”. Quelques incidents ont par ailleurs éclaté entre “gilets jaunes” et policiers.

“Nous ne savons pas tout aujourd’hui, a indiqué Edouard Philippe à propos des conséquences de l’incendie de Rouen, cet après-midi au Sénat. Le Premier ministre a ajouté : des “analyses sont en cours” et “il va falloir les poursuivre et pendant longtemps”.

17h42 : Et si vous voulez en savoir plus sur l’épineuse question de la frontière irlandaise, vous pouvez (re)lire ce reportage de Marie-Violette Bernard à Derry-Londonderry. Dans la ville du “Bloody Sunday”, le Brexit réveille les fantômes de 30 ans de conflit armé entre protestants fidèles à la couronne britannique et catholiques partisans de la réunification de l’île d’Irlande.

Des fresques marquent l\'entrée du quartier catholique de Bogside, à Derry-Londonderry (Royaume-Uni), le 13 mars 2019. (AFP)

17h41 : Vous vous demandez pourquoi ce détail est important ? La question de la frontière irlandaise est centrale dans les négociations sur le Brexit. D’un côté, l’objectif est d’éviter le retour d’une “frontière dure”, avec des contrôles physiques, entre l’Irlande et l’Irlande du Nord (cela risquerait de raviver les violences entre protestants et catholiques). De l’autre, les unionistes (protestants et fidèles à la couronne britannique) refusent que l’Irlande du Nord ait un statut différent du reste du Royaume-Uni.

17h36 : Mais les unionistes viennent d’annoncer leur soutien à la proposition de Boris Johnson. La raison ? Le Premier ministre propose que les autorités nord-irlandaises votent régulièrement après le Brexit, pour décider si elles veulent maintenir ou mettre un terme à la “zone réglementaire” qui serait créée sur toute l’île d’Irlande. En bref, les Nord-Irlandais pourraient décider de ce qu’ils préfèrent.

17h36 : Une journaliste de la BBC souligne un élément important : dans sa proposition, Boris Johnson prévoit des contrôles sur les marchandises transitant de la Grande-Bretagne vers l’Irlande du Nord. Le DUP, parti unioniste nord-irlandais allié des Conservateurs, s’opposait jusqu’ici à cette mesure. Il estimait que cela reviendrait à placer la frontière entre le Royaume-Uni et l’UE en mer d’Irlande.

Pour les opposants au \"backstop\", cette mesure reviendrait à déplacer la frontière avec l\'UE en mer d\'Irlande.(FRANCEINFO)

17h18 : Premières réactions après la proposition de Boris Johnson sur la gestion de la frontière irlandaise. Selon la chaîne Sky News (en anglais), le Premier ministre irlandais Leo Varadkar ne trouve pas la proposition de Londres “prometteuse”. Elle ne constitue pas “la base d’un accord”, a-t-il ajouté.

16h48 : Autre point important de cette proposition : à l’issue de la période de transition qui suivra le Brexit, tous les “processus douaniers” entre le Royaume-Uni et l’UE seraient “dématérialisés”, avec “un petit nombre de contrôles physiques” qui seraient menés directement dans les entreprises. “Cela s’accompagnerait d’un engagement ferme, de la part des deux parties, de ne jamais mener de contrôles à la frontière dans le futur”.

16h47 : Boris Johnson précise, dans des “notes” publiées en même temps que sa lettre, que cette proposition de “zone réglementaire” doit être approuvée par les autorités nord-irlandaises.

16h36 : Dans cette lettre de quatre pages (pdf en anglais), adressée à Jean-Claude Juncker, Boris Johnson propose de créer une “zone réglementaire sur toute l’île d’Irlande”. Cela signifie que les normes européennes s’appliqueraient en Irlande du Nord, “éliminant tous les contrôles sur les biens transitant entre l’Irlande et l’Irlande du Nord”.

16h39 : Ce plan (lien en anglais), qui remplace le “backstop” décrié du précédent accord, prévoit que l’Irlande du Nord appartienne à la même zone douanière que la Grande-Bretagne, mais que la province britannique conserve les régulations de l’Union européenne pendant une période de transition.

16h25 : Londres vient de publier sa proposition sur la frontière irlandaise, en vue de la négociation d’un accord avec l’Union européenne sur le Brexit.

16h22 : Petite pique envoyée à Boris Johnson. Le quotidien britannique The Daily Mirror (lien en anglais) a publié un article titré : “Toutes les nouvelles politiques annoncées lors du discours de Boris Johnson à la convention annuelle du Parti conservateur. L’image accompagnant le papier ? Une page entièrement blanche.

15h41 : La frontière irlandaise est l’un des plus gros casse-tête du Brexit. Alors que la question des contrôles se pose, le journal irlandais The Irish Times (lien en anglais) a publié une carte avec tous les points de passage entre l’Irlande et l’Irlande du Nord

15h06 : La France attend du Royaume-Uni des propositions de “modifications substantielles” à l’accord existant sur le Brexit, a déclaré en milieu de journée la porte-parole du gouvernement français, Sibeth Ndiaye, lors d’une conférence de presse. Le Premier ministre britannique Boris Johnson doit présenter aujourd’hui son “offre finale” sur la sortie de l’UE.

14h01 : Il est 14 heures, voici un nouveau point sur l’actualité de ce mercredi :

• Le Premier ministre britannique Boris Johnson a promis de soumettre à l’Union européenne, dans la journée, des “propositions constructives et raisonnables” à même selon lui de déboucher sur un accord sur le Brexit. Il a cependant maintenu que le Royaume-Uni quitterait l’UE au 31 octobre “quoi qu’il arrive”.

• Il fallait marquer quatre essais pour décrocher le bonus offensif et les Bleus y sont parvenus, ce matin au Japon. Le XV de France a battu une courageuse équipe américaine ().

• Les policiers sont actuellement rassemblés à Paris, sur fond de malaise de l’institution, de hausse des suicides et de réforme des retraites. Suivez leur marche dans notre direct.

• L’Assemblée nationale a décidé de créer une mission d’information pour faire la lumière sur l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen. La création d’une commission d’enquête transpartisane est également “dans les tuyaux” au Sénat.

13h16 : “Nous ne devons avoir aucun doute sur le fait que l’alternative [au plan] est une sortie sans accord. Ce n’est pas l’issue que nous voulons, ce n’est pas l’issue que nous cherchons, mais laissez-moi vous dire que c’est une issue à laquelle nous sommes prêts.”

Boris Johnson s’exprime en ce moment, à l’occasion du congrès du Parti conservateur à Manchester (nord-ouest de l’Angleterre), à moins d’un mois de la date prévue du Brexit.

13h14 : C’est le point d’achoppement de la discussion avec Bruxelles. Boris Johnson a précisé que les propositions qu’il va faire à l’Union européenne dans la journée, qu’il présente comme “un compromis de la part du Royaume-Uni”, excluaient des contrôles à la frontière irlandaise.

13h11 : “Ce que veut le monde entier, c’est en finir calmement et raisonnablement avec ce sujet et tourner la page”, a-t-il notamment déclaré, en clôture de la convention annuelle du Parti conservateur, à Manchester.

(Henry Nicholls / REUTERS)

13h05 : Il maintient le cap. Le Premier ministre britannique, Boris Johnson, a redit que le Brexit deviendrait réalité le 31 octobre, “quoi qu’il arrive” et notamment quel que soit le sort réservé par les Européens aux propositions qu’il s’apprête à formuler.

13h01 : Bonjour @Solène et merci pour votre question. Certains détails ont déjà fuité dans la presse. Selon The Telegraph (article en anglais) notamment, la nouvelle proposition britannique prévoit que l’Irlande du Nord reste dans le marché unique européen jusqu’en 2025, tout en formant une union douanière avec le Royaume-Uni.

12h43 : Bonjour Camille, sait-on en quoi consiste cette “offre finale” que Boris Johnson doit présenter à l’Union Européenne aujourd’hui ?

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