Windows 12 n’est pas d’actualité, Microsoft se concentre sur Windows 11

Cette année, au CES 2025, Microsoft a réaffirmé son engagement envers Windows 11 en présentant une nouvelle génération de PC baptisés “Copilot+”. Conçus pour exploiter l’intelligence artificielle (IA), ces ordinateurs tentent d’incarner l’avenir de l’écosystème Windows. Mais une chose est claire : Windows 12 ne figure pas à l’ordre du jour.

Selon Microsoft, 2024 a marqué un tournant dans l’adoption de l’IA par le grand public et les professionnels. Cette tendance va se poursuivre en 2025 avec de plus en plus de PC Copilot+, équipés de fonctionnalités d’IA intégrées accessibles directement depuis la barre des tâches. Ces machines vont proposer un large éventail d’outils, allant de la productivité à l’assistance personnelle, en collaboration avec des applications comme celles développées par OpenAI.

Cependant, l’IA n’est pas le seul atout. Microsoft affirme que les PC Copilot+ surpassent les performances des ordinateurs Windows datant de cinq ans. Ils seraient également 58 % plus rapides qu’un MacBook équipé d’un processeur M3, grâce notamment à la puissance des puces Snapdragon X Elite.

Une transition inévitable vers Windows 11

Le CES 2025 est également un rendez-vous à ne pas manquer pour rappeler la fin imminente de Windows 10. Comme confirmé par Yusuf Mehdi, vice-président exécutif et directeur du marketing grand public, Windows 10 cessera de recevoir des mises à jour après le 14 octobre 2025. Une prolongation d’un an sera possible grâce à des mises à jour de sécurité étendues au travers d’un abonnement payant. Microsoft incite cependant les utilisateurs concerner à migrer vers Windows 11.

Selon Microsoft, Windows 11 offre des fonctionnalités avancées, mais aussi une protection renforcée.

Enfin concernant un hypothétique Windows 12, Microsoft n’a rien révélé. Le géant est déterminé a se concentrer sur l’optimisation et l’adoption de Windows 11. Avec l’arrivée des PC Copilot+ et les mises à jour prévues pour Windows 11, Microsoft semble prêt à prolonger la durée de vie de son système actuel. Sauf retournement de situation, l’entreprise pourrait même repousser l’introduction de Windows 12 au-delà de 2026.