TÉMOIGNAGE. «Je ne sais pas ce qui m’attend»: en Normandie, la vie suspendue des réfugiés d’Ukraine – Ouest-France

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Cela fait six mois, à l’instar de dizaine de milliers de compatriotes, qu’ils ont quitté leur pays en guerre. Les réfugiés ukrainiens – 100 000 en France – n’imaginaient pas que ça durerait si longtemps. À Réville (Manche), Jean-Pierre Mabire et son épouse Chantal leur ouvrent leur maison depuis le début de l’invasion russe. Témoignages croisés.

Elena, Andrey, Liza, Sacha et Alona, réfugiés ukrainiens chez Jean-Pierre Mabire, voient depuis des mois leur vie en suspens.
Elena, Andrey, Liza, Sacha et Alona, réfugiés ukrainiens chez Jean-Pierre Mabire, voient depuis des mois leur vie en suspens. | OUEST-FRANCE

  • Elena, Andrey, Liza, Sacha et Alona, réfugiés ukrainiens chez Jean-Pierre Mabire, voient depuis des mois leur vie en suspens.
    Elena, Andrey, Liza, Sacha et Alona, réfugiés ukrainiens chez Jean-Pierre Mabire, voient depuis des mois leur vie en suspens. | OUEST-FRANCE

« Jean-Pierre et Chantal ont pris soin de nous comme nos propres parents l’auraient fait. On a conscience d’avoir bouleversé leur quotidien, alors dites bien notre gratitude s’il vous plaît ! » Elena, 43 ans, a débarqué d’Ukraine dans le Val de Saire (Manche) en mars dernier avec ses deux fils, Maxim et Andrey. Ils sont restés quelques mois dans cette longère de Réville, avant que Jean-Pierre Mabire et son épouse Chantal jouent de leurs relations pour leur trouver un appartement situé dans l’enceinte du collège de Saint-Vaast-la-Hougue, à quelques kilomètres de là.

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