REPLAY. Présidentielle 2022 : revivez l’émission “Elysée 2022” avec Eric Zemmour, Anne Hidalgo et Nicolas D… – franceinfo

Retrouvez ici l’intégralité de notre live #ELYSEE2022

23h22 : “Il n’y aura pas de débat entre les candidats, avec un candidat qui méprise tout le monde”, dénonce d’emblée Nicolas Dupont-Aignan. Le souverainiste est l’un de ceux qui a partagé le #PasDeDébatPasDeMandat, un mot-dièse répandu sur Twitter, sur lequel ma collègue Margaux Duguet s’est penchée par ici.

23h20 : Le candidat de Debout la France ne décolle pas dans les sondages, avec seulement 2% d’intentions de vote en moyenne. Petit rappel : en 2017, il avait rassemblé 4,70% des voix au premier tour de l’élection présidentielle.

23h20 : 23h16. Après Eric Zemmour et Anne Hidalgo, un troisième et dernier candidat arrive en plateau. Il s’agit du président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan.

23h20 : L’interview d’Anne Hidalgo est terminée. Avant de quitter le plateau, elle estime qu’il faut limiter “la spéculation immobilière” pour lutter contre les abus. Mon collègue Robin Prudent a justement mené une enquête que je vous recommande sur la manière dont les maxi-propriétaires, ces Français qui détiennent plusieurs logements, ont mis la main sur la moitié du parc locatif français.

23h12 : Interrogée sur ses réalisations en tant que maire de Paris, Anne Hidalgo se targue des avancées permises en matière environnementale et sociale, notamment sur les transports et le logement. Sur sa gestion, la Chambre régionale des comptes a pointé du doigt, il y a un mois, la dette de la municipalité, avec un niveau d’investissement jugé trop élevé par rapport aux capacités financières de la ville.

23h12 : Interrogé par Médiacités sur le “tiers” de non-Ukrainiens évoqué par Le Figaro, le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration explique que “dans les tout premiers jours, il y avait plus de personnes non ukrainiennes que de personnes ukrainiennes qui restaient, elles, dans les pays frontaliers proches de leurs familles encore sur place”. Toutefois, “au fur et à mesure, le pourcentage de personnes non ukrainiennes a totalement diminué car les Ukrainiens ont commencé à chercher refuge ailleurs qu’à la frontière“, ajoute Didier Leschi.

23h05 : Le ministère de l’Intérieur a contredit ces chiffres auprès de nos confrères de Médiacités. Ainsi, au 14 mars, 14 631 personnes étaient entrées en France depuis le 25 février et le début de la guerre. Parmi elles, 14 275 ont été enregistrées comme étant de nationalité ukrainienne, soit 97,5%. Les non-Ukrainiens représentaient 2,5 % des personnes accueillies en France, et non près d’un tiers.

23h05 : Pour appuyer son propos, Eric Zemmour a mentionné un article du Figaro (pour les abonnés) publié le 8 mars. Le quotidien assure que “quasiment un réfugié sur trois n’est pas Ukrainien”, sans toutefois donner explicitement la source de cette information. Ce chiffre a depuis été repris par plusieurs personnalités soutiens d’Eric Zemmour, comme Nicolas Bay ou Marion Maréchal.

23h04 : Un tiers des réfugiés venus d’Ukraine accueillis en France sont-ils des non-Ukrainiens ? C’est ce qu’a affirmé Eric Zemmour un peu plus tôt dans la soirée. “On découvre déjà (…) que dans ces réfugiés dits ukrainiens, il y a un tiers d’Algériens, de Marocains, d’Africains, qui se sont faufilés dans cette ouverture du couloir Schengen”, a assuré le candidat d’extrême droite.

22h57 : Anne Hidalgo a elle aussi eu droit à une question sur la Corse. A ce sujet, la maire de Paris souhaite mettre en place un “permis de faire” sur l’île, un “droit à l’expérimentation, un droit à une action qui corresponde à la réalité des territoires”. Concrètement, cela prendrait par exemple la forme d’un budget participatif pour la population insulaire.

23h01 : La politique d’Emmanuel Macron est-elle de gauche ou de droite ? La question a été posée par Ipsos aux téléspectateurs d'”Elysée 2022″ ce soir. Selon 59% de sondés, elle est plutôt de droite. Elle est un mélange de gauche et de droite pour 35% des personnes interrogées. Seulement 6% de ceux qui ont répondu estiment que la politique du chef de l’Etat est de gauche. A l’occasion de la fin de son quinquennat, nous avons d’ailleurs dressé le bilan politique de son mandat.

22h50 : Revenons encore sur les réponses apportées par Eric Zemmour tout à l’heure. Y a-t-il “50% d’échec en première année à l’université” aujourd’hui en France, comme le dit le candidat d’extrême droite ? Il a plutôt raison : en 2020, le taux de réussite des bacheliers 2019 inscrits en L1(première année de licence) était de 54 %, soit un taux d’échec de 46%, selon une note du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Le taux de réussite en 2020 était néanmoins en hausse de huit points par rapport à celui de l’an passé.

23h03 : La maire de Paris et le président du groupe LREM à l’Assemblée nationale estiment que chacun incarne “la gauche du réel”. Il n’y a pas si longtemps, ils appartenaient pourtant à la même formation politique, le Parti socialiste. Christophe Castaner était même tête de liste du PS aux régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur, avant de quitter le parti en mars 2017, un mois avant l’élection d’Emmanuel Macron.

23h03 : Avec une moindre cacophonie que lors des échanges entre Eric Zemmour et Yannick Jadot, Anne Hidalgo et Christophe Castaner s’accusent mutuellement de mal interpréter le rapport du Conseil d’orientation sur les retraites sur la soutenabilité du système actuel. On vous en dit un peu plus sur ce sujet assez technique dans cet article.

22h33 : Dans les programmes de 2008, les écoliers apprenaient le passé simple dès le CE2, relevait en 2018 20 Minutes. La réforme de 2016 n’a donc repoussé que d’un an le début de l’apprentissage du passé simple.

22h33 : Depuis l’entrée en vigueur des nouveaux programmes scolaires, en 2016, le passé simple est abordé à partir du troisième cycle, c’est-à-dire en CM1, CM2 et en sixième. Donc avant la cinquième, contrairement à ce qu’Eric Zemmour laisse entendre.

22h32 : Pendant que le débat entre Christophe Castaner et Anne Hidalgo se poursuit, je reviens sur une réponse donnée tout à l’heure par Eric Zemmour sur la question de l’éducation. Il a assuré que les programmes de conjugaison ont évolué. “Aujourd’hui, on apprend le passé simple en cinquième (…) Dans mon enfance, tout comme mes enfants, on a appris le passé simple en CE2”, a-t-il lancé. Mais ce n’est pas si simple.

23h10 : Place au débat, et c’est Christophe Castaner qui fait face à Anne Hidalgo. Sans surprise, le président du groupe LREM à l’Assemblée nationale défend la proposition d’Emmanuel Macron de repousser l’âge légal de départ à 65 ans, une mesure de “justice”, selon lui. Si elle accédait à l’Elysée, la socialiste maintiendrait l’âge légal actuel, soit 62 ans, en rétablissant des critères de pénibilité.

22h20 : En effet, la candidate socialiste pâtit notamment de très mauvais sondages, comme vous pouvez le voir dans notre agrégateur mis quotidiennement à jour.

22h21 : 22h08, Anne Hidalgo prend la place d’Eric Zemmour. Question : étant donné les sondages, la maire de Paris a-t-elle songé à renoncer ? “Je suis quelqu’un de très lucide et cette lucidité m’amène à dire que je ne souhaite pas du tout le projet d’Emmanuel Macron pour la France.” Interrogée sur ces enquêtes d’opinion qui jouent en sa défaveur, la maire de Paris se dit “lucide” et “combative”.

22h15 : Un dernier sujet, et pas des moindres puisque c’est l’une des mesures les plus discutées du programme d’Emmanuel Macron pour un second mandat : le président sortant conditionnerait le versement du RSA à “l’obligation de consacrer 15 à 20 heures par semaine” à une activité facilitant l’insertion professionnelle. Sur France 2, Eric Zemmour ne se dit “pas hostile” à cette proposition.

22h14 : Revenons sur un autre point : les retraites. Eric Zemmour a estimé qu’il fallait relever l’âge légal de départ à 64 ans. Vous vous y perdez dans la jungle des propositions des candidats sur ce sujet ? On fait le point sur les mesures prônées par les uns et les autres dans cet article.

22h13 : On revient sur quelques points abordés par le candidat d’extrême droite. Il a notamment dénoncé la mainmise des “idéologues pédagogistes” sur les programmes scolaires et défendu des classes de niveau pour améliorer le niveau global des élèves. Mais est-ce vraiment la solution ? En 2020, une étude universitaire a décortiqué l’effet de la composition des classes sur les résultats du baccalauréat. Si le sujet vous intéresse et que vous avez un peu de temps, c’est à lire par ici.

22h28 : S’il n’est pas au second tour, pour qui appellera à voter Eric Zemmour ? “Je pense que je serai au second tour”. Et s’il ne l’est pas, vraiment ? “Non, je n’appellerai pas à voter monsieur Macron, ça c’est sûr.” Et Marine Le Pen, la soutiendra-t-il ? Silence.

C’est sur cette question que l’interview d’Eric Zemmour se termine. Dans quelques instants, place à la deuxième candidate de la soirée, Anne Hidalgo.

22h04 : Petit point “exercice du pouvoir” : face à Dominique Seux, Eric Zemmour défend une nouvelle fois sa conception d’un président de la République qui a une “vision” pour la France, mais qui ne se penche pas sur les “milliers de décisions” inhérentes aux affaires courantes. Celles-ci devraient être prises, selon lui, par le Premier ministre, dans l’esprit de la Ve République. “Le Premier ministre détermine et conduit la politique de la Nation”, dispose l’article 20 de notre Constitution.

22h05 : S’il est élu président, qui Eric Zemmour nommera-t-il au ministère de l’Economie ? Le candidat a quelques noms en tête : “J’ai des gens très compétents qui m’ont déjà rejoint. Guillaume Peltier, Marion Maréchal, Philippe de Villiers… Bruno Le Maire occupe le poste depuis cinq ans, je ne crois pas qu’il ait de compétences économiques”.

22h03 : “La Corse veut défendre l’identité corse, je suis d’accord avec eux”, martèle Eric Zemmour. Le sujet brûlant de l’autonomie de l’île de Beauté s’est invité dans la campagne présidentielle après la tentative d’assassinat contre le militant indépendantiste Yvan Colonna, il y a deux semaines. Pour tout comprendre à la situation actuelle, mes collègues Miren Garaicoechea et Juliette Campion ont écrit un article complet à retrouver par ici.

22h47 : Que pense Eric Zemmour de la question de l’autonomie de la Corse ? “La Corse a déjà un statut spécial. L’autonomie qui va vers l’indépendance à la manière anglaise, catalane ou écossaise, là c’est non“. Surtout, le candidat de Reconquête ! estime qu’Emmanuel Macron aurait dû se montrer “ferme” face aux violences qui ont éclaté ces derniers jours en Corse. “Monsieur Macron fait encore des politicailleries en annonçant l’autonomie à trois semaines” du premier tour.

22h13 : Mais il est vrai que l’idée d’une politique de défense commune aux Etats membres de l’Union européenne, apparue pour la première fois en 1954, a du mal à se concrétiser, détaille mon collègue Fabien Jannic-Cherbonnel dans cet article. L’incapacité des Vingt-Sept à s’accorder sur les limites d’un tel projet, ainsi que les différences de culture militaire entre chaque pays, sont notamment en cause.

21h48 : L’Union européenne ne dispose pas d’armée propre, même si elle a mis en place plusieurs outils et organisations qui lui permettent de favoriser la coopération opérationnelle et financière entre Etats membres sur les questions de défense. Elle peut également envoyer dans des pays tiers des missions, généralement de soutien, composées de troupes venues des Etats membres.

21h48 : “L’Europe de la défense (…) est une chimère parce que personne n’en veut”, assure Eric Zemmour. C’est un peu plus compliqué que ce que dit le candidat d’extrême droite.

21h40 : A la suite des propos d’Eric Zemmour, la Fédération nationale des victimes d’attentats et d’accidents collectifs (Fenvac) avait déposé plainte. Le parquet de Paris avait ouvert une enquête préliminaire pour apologie du terrorisme, classée sans suite en 2017.

21h40 : Eric Zemmour a-t-il dit son “respect” et “peut-être [son] admiration pour les terroristes qui ont tué à l’Hyper Cacher” en janvier 2015, comme le prétend Yannick Jadot ? Dans une interview au magazine Causeur en 2016, le président de Reconquête ! avait affirmé “respecter les gens prêts à mourir pour ce en quoi ils croient”, refusant de les qualifier “d’esprits faibles”.

21h43 : Le niveau scolaire a-t-il nettement “baissé” en France, comme le clame Eric Zemmour ? Il déplore depuis longtemps des lacunes criantes dans les fondamentaux que sont le français et les mathématiques. Selon lui, il y a aujourd’hui “30 à 40% des enfants qui arrivent en sixième sans savoir bien lire, dans certains quartiers ce chiffre monte à plus de 50%”. Fin février, nous avions vérifié cette affirmation du candidat d’extrême droite.

21h36 : A présent, le candidat d’extrême droite évoque le thème de l’éducation. Il répond au journaliste Thomas Snégaroff.

21h31 : Les deux candidats se sont écharpés sur leurs ennuis judiciaires passés. Ils ont chacun été condamnés par la justice : Yannick Jadot pour pour “atteinte aux intérêts supérieurs de la Nation” après une opération antinucléaire près de Brest, en 2005. Eric Zemmour a lui été condamné, plusieurs fois, notamment pour “provocation à la haine” et “contrefaçon de droits d’auteur”.

21h30 : Dans les commentaires, vous êtes nombreux à regretter l’agressivité du débat entre Yannick Jadot et Eric Zemmour qui vient de se terminer. Notre journaliste Thibaud Le Meneec nous résume l’un des points de tension.

21h23 : Enfin et surtout, Eric Zemmour oublie de compter les sorties du territoire. En 2017, 261 000 immigrés sont arrivés en France, mais 63 000 en sont partis, d’après l’Insee. Le solde migratoire était donc de 198 000 immigrés. Les chiffres des sorties d’immigrés du territoire ne sont pas encore disponibles pour les années suivantes. Il est donc pour l’heure difficile d’établir l’évolution de l’immigration sous le quinquennat d’Emmanuel Macron.

21h22 : Eric Zemmour dénombrait ainsi “entre 350 et 400 000” immigrés arrivés en France en un an, soit deux millions sur cinq ans. Mais en additionnant titres de séjour, demandes d’asile et mineurs isolés, il compte plusieurs fois les mêmes personnes. En effet, des immigrés entrés en France avec le statut provisoire de demandeurs d’asile obtiendront leur titre de séjour quelques années plus tard, rappelle l’Institut convergences migrations.

21h22 : En septembre, Eric Zemmour assurait déjà qu’“au bout du mandat d’Emmanuel Macron, il y aura deux millions d’immigrés de plus”. Il mentionnait alors les “275 000 entrées légales” en 2019, soit le nombre de titres de séjour délivrés pour la première fois, y ajoutant les “36 000” demandes d’asile acceptées sur “130 000”, plus “10 à 15%” des “90 000 déboutés”, plus “40 000 à 50 000” mineurs isolés.

21h22 : Interrogé en début d’émission sur le programme d’Emmanuel Macron, Eric Zemmour a estimé qu‘”il n’y a rien sur l’immigration”. “Avec monsieur Macron, on continuera [à accueillir] deux millions d’immigrés légaux tous les cinq ans”, a affirmé l’ancien polémiste. Ce n’est pas la première fois qu’Eric Zemmour évoque ce chiffre. Mais sa méthode de calcul, et donc son résultat, sont erronés.

21h13 : Eric Zemmour accuse Yannick Jadot et les écologistes d’être “contre Noël, contre le Tour de France”. Il fait là référence à des polémiques qui ont visé les nouveaux maires écologistes en 2020 et 2021, un sujet que nous abordions en longueur par ici.

21h09 : Les deux débatteurs évoquent la défense européenne, dans le cadre de l’invasion russe en Ukraine depuis maintenant trois semaines. Sur ce sujet géopolitique, parfois très technique, je ne peux que vous conseiller de vous pencher sur l’excellent article de mon collègue Fabien Jannic-Cherbonnel.

21h06 : Si le ton est monté l’espace d’une poignée de minutes sur le plateau, c’est qu’une polémique avait éclaté il y a un mois entre les deux candidats sur ce sujet très sensible de l’antisémitisme.

20h58 : Une nouvelle fois, Eric Zemmour se réclame de la politique menée par le général de Gaulle de 1958 à 1969. C’est une constante pour le polémiste, qui multiplie les références à cette figure de la Ve République depuis son ascension médiatique.

20h53 : Yannick Jadot et Eric Zemmour, dont les programmes sont aux antipodes sur de nombreux sujets, s’opposent sans surprise sur la guerre en Ukraine. “Quand on est président de la République, on discute avec tout le monde”, estime le candidat d’extrême droite, quand son concurrent écologiste considère que le président russe est “un criminel de guerre”.

20h55 : Eric Zemmour a maintenant face à lui un autre candidat à la présidentielle. Yannick Jadot vient d’arriver sur le plateau. Premier débat, premier sujet et premier désaccord : la guerre en Ukraine.

“Oui, Poutine est un criminel de guerre”, dit l’écologiste. “Tout ça, ce sont des mots. L’appeler ‘criminel de guerre’ n’est pas responsable”, lui répond le candidat d’extrême droite.

20h49 : “Je serai au second tour”, assure Eric Zemmour, insistant sur “l’enthousiasme” et “l’engouement” qu’il constate autour de lui. Pour l’heure, le candidat de Reconquête est en quatrième ou cinquième position dans les sondages, comme vous pouvez le voir dans notre agrégateur d’enquêtes d’opinion.

20h47 : Eric Zemmour juge bonnes “plusieurs mesures” prônées par Emmanuel Macron, comme la suppression de la redevance sur l’audiovisuel public et l’âge légal de départ à la retraite repoussé à 65 ans. Mais comme depuis son entrée en campagne, il n’oublie pas de critiquer vertement le grand reniement” du chef de l’Etat.

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p id=”lmsg-623390038256bfe1eb4112ac” class=”message custom”>20h48 : “Je suis visé par Emmanuel Macron depuis le début. Il a bien compris que le vrai débat, c’était entre lui et moi car nous avons deux visions de la France.”

Eric Zemmour est le premier à prendre la parole. Il répond à distance à Emmanuel Macron qui l’a vertement critiqué cet après-midi. Il a en effet dénoncé les projets des candidats qui mettent en avant “le repli, le retour à une forme de nostalgie, parfois d’ailleurs la nostalgie de ce qui n’a jamais été”. Une allusion à ses rivaux d’extrême droite, Marine Le Pen, et donc Eric Zemmour.

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