Le moteur de recherche français Qwant va licencier,

Le moteur de recherche français Qwant va licencier, Le moteur de recherche français Qwant va licencier, mentionne La Lettre A. Les sites d’Ajaccio et d’Epinal seraient concernés par ces suppressions d’emploi. 25 emplois seraient en jeu.Présenté depuis sa naissance en 2011 comme un fleuron de la French Tech, ce moteur de recherche qui communique sur son prétendu respect de la vie privée, en opposition à Google, a connu ces derniers mois des déconvenues, avec la mise à l’écart du dirigeant Eric Leandri, par ailleurs toujours actionnaire de l’entreprise, et une reprise en main de la gouvernance par la Caisse des dépôts et consignations, l’un de ses principaux actionnaires. En mars dernier, Tristan Nitot, dirigeant par intérim du moteur de recherche Qwant, annonçait qu’il quittait lui aussi l’entreprise.

Début 2020, l’Etat annonçait le choix de Qwant comme moteur de recherche par défaut de l’administration française. Pourtant une note interne de la Dinum, révélée par Le Media récemment, s’interrogeait également sur l’utilisation de Bing, le moteur de recherche de Microsoft, en sous-traitance de Qwant. « Qwant ne sait pas répondre précisément aux questions concernant enchaînement exact des traitements et ne sait pas quantifier son niveau d’utilisation réelle de Bing » mentionait la Direction interministérielle du numérique.

Le moteur de recherche essuie par ailleurs depuis plusieurs années des pépins techniques alarmants https://www.zdnet.fr/actualites/qwant-une-technologie-qui-para-t-bien-fragile-39889611.htm. Le moteur proposait par exemple un temps aux internautes un grand nombre de résultats datés. Le mmoteur limitait également le nombre de résultats affichés par requête quitte parfois à répéter l’opération sur plusieurs pages.

Il y a deux semaines, le ministre de l’Economie Bruno Le Maire et le secrétaire d’Etat au Numérique Cédric O ont annoncé un plan supplémentaire de plus de 600 millions d’euros pour soutenir la French Tech, ébranlée par la crise du coronavirus. Ce programme vient compléter un premier plan de secours de 4 milliards d’euros annoncé fin mars. Financé pour l’essentiel à travers le Programme d’investissements d’avenir (PIA), ce plan comprend la création d’un fonds d’investissement, géré par Bpifrance.

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