EN DIRECT – Présidentielle: suivez le meeting d’Éric Zemmour au Trocadéro – BFMTV

Yannick Jadot réitère ses accusations contre TotalEnergies

“Total doit quitter la Russie maintenant. Total doit cesser de financer les crimes de guerre de Poutine, maintenant. Parce que la vie des Ukrainiennes et des Ukrainiens vaut plus que leurs profits”, a affirmé Yannick Jadot face à une salle debout.

Il a ensuite visé nommément le PDG de TotalEnergies

“Monsieur Pouyanné, je persiste et je signe: je ne retire pas un mot. Monsieur Pouyanné, leurs vies, le climat, valent plus que les dividendes de tous vos actionnaires, que votre rémunération indécente qui a augmenté de 50% en 2021 pour atteindre 6 millions d’euros.”, souligne Yannick Jadot.

Le groupe pétrolier français a annoncé cette semaine attaquer l’écologiste pour diffamation, après qu’il a accusé TotalEnergies de “complicité de guerre”.

“Au cas où ils pensaient m’effrayer pour leurs vaines menaces (…) les écologistes ne reculent jamais (…) savent-ils qui nous sommes?”, s’interroge-t-il sur la scène du Zénith de Paris. Il affirme que les écologistes savent “ce que désobéir veut dire”, avant de citer les actions de ses camarades écologistes.

“Je suis venu parler à la France du travail”, lance Eric Zemmour

Je suis venu parler à la France qui se lève tôt. Je suis venu dire à nos employés, à nos agiculteurs, à nos pêcheurs, à nos artisans.”

” Je suis venu parler aux entrepreneurs. Vous acceptez les risques, vous allez au devant du danger.”

“Trop, c’est trop” lance-t-il en parlant des charges et des impôts. Je veux taxer moins pour gagner plus.”

Eric Zemmour rend hommage à un père d’une victime du 13 novembre

Eric Zemmour rend hommage à Patrick Jardin, qui a perdu sa fille dans les attentats du 13 novembe 2015, ce dimanche sur la place du Trocadéro. Le candidat dit l’avoir rencontré à Nice. “Patrick, je n’oublierai jamais ton regard, jamais tes larmes, jamais ton regard.”

La foule entonne “plus jamais”.

Yannick Jadot s’adresse aux “électeurs déçus d’Emmanuel Macron”

L’écologiste s’adresse à ceux qui ont voté pour le président en 2017. Celui qui a “jeté à la poubelle le rapport Borloo sur les banlieues (…) jeté les cahiers de doléance, (…) jeté les propositions de la Convention climat”.

Le candidat décline sa vision du bilan d’Emmanuel Macron “Vous vouliez une réforme des retraites juste. Vous avez eu un simulacre dé réforme injuste et la brutalité.”

“Un ouvrier a 10 ans de moins d’espérance de vie en bonne santé qu’un cadre. Nous remettrons la pénibilité au cœur du système” , promet Yannick Jadot, qui promet le maintien de l’âge de départ à 62 ans.

Yannick Jadot “contre les nationalismes de gauche et de droite”

Le candidat tente de rassembler la gauche. Il s’est positionné. “Contre les nationalismes de gauche et de droite, contre le libéralisme et la technocratie, nous défendrons pour la France et l’Europe un projet d’humanisme et d’harmonie, de solidarité, bref, un sujet de civilisation”, assure-t-il.

Yannick Jadot rend hommage au “courage du président Zelensky”

“Je veux ici saluer l’admirable résistance du peuple ukrainien et le courage du président Zelensky face aux crimes de guerre chaque jour commis contre des civils.”

Yannick Jadot envoie “un salut fraternel à ceux qui poursuivent le combat” face au régime de Vladimir Poutine.

Eric Zemmour appelle ses “amis” de la droite à le rejoindre

Eric Zemmour fait un appel à ses “amis” à droite dans son discours devant la place du Trocadéro. “Oui, j’aurai besoin d’Eric Ciotti”, il fait applaudir le député niçois des Républicains. “Oui j’aurai besoin de François Xavier Bellamy, de Laurent Wauquiez, de Nadine Morano, de Laurent Wauquiez. C’est l’idée que je me fais de l’union des droites.”

“Je suis le seul candidat de droite dans cette élection”, ajoute-t-il.

Le candidat tend la main à ses concurrents à droite alors que sa campagne est en perte de vitesse.

“J’ai choisi le Trocadéro pour laver les affronts de la droite”, lance Eric Zemmour

“J’ai choisi le Trocadéro pour laver les affronts de la droite”, lance d’emblée Eric Zemmour faisant réfénrece au meeting de François Fillon en 2017 et Nicolas Sarkozy en 2012. Cette place symbolise la France qui se revèle.

Le candidat multiplie les références historiques sur le lieu : “J’ai choisi le Trocadéro en pensant à Charles de Gaulle qui fit un grand discours en 1944 juste après la victoire.”

Yannick Jadot: “c’est la survie de notre humanité qui se joue aujourd’hui”

Yannick Jadot a débuté son discours par un appel à la mobilisation au vote. “Rarement dans notre pays un tel choix aura été aussi décisif”, a-t-il déclaré sur la scène du Zénith de Paris.

“Le moment du choix, de votre choix, est désormais tout proche, à portée de vote”, a ajouté le candidat écologiste.

“C’est la survie de notre humanité qui se joue aujourd’hui”, affirme-t-il face aux militants écologistes. “Le statut quo c’est le chaos”, résume Yannick Jadot

Eric Zemmour au Trocadéro : “Vous êtes 100 000 ! “

“Vous êtes 100 000 !”, lance Eric Zemmour devant la foule de partisans. “Vous êtes 100 000 à vouloir changer l’histoire de France.”

Le candidat de Reconquête est en meeting ce dimanche au Trocadéro à deux semaines du premier tour, le 10 avril prochain.

En 2017, l’équipe de François Fillon, le candidat Les Républicains avait annoncé 200 000 personnes sur la même place du Trocadéro à Paris.

Jean-Luc Mélenchon défend sa position de “non-aligné” dans la guerre en Ukraine

En meeting au Prado à Marseille, l’Insoumis s’en est pris à la “violence absurde et criminelle” de Vladimir Poutine, tout en se réaffirmant “non aligné, souverain, indépendant, capable de se défendre et de proposer sans relâche la paix et les moyens de la paix”, a-t-il dit devant ses partisans à Marseille.

Eric Zemmour arrive au Trocadéro à Paris

Devant une foule de drapeaux bleu-blanc-rouge, les soutiens d’Eric Zemmour, Guillaume Peletier, Philippe de Villiers et Marion Maréchal ont pris la parole ce dimanche au Trocodéro à Paris. 60 000 personnes sont présentes selon les organisateurs.

Le candidat du parti Reconquête arrive sur scène après la diffusion d’un clip de campagne. Son discours va commercer.

Le meeting de Yannick Jadot est à suivre en direct sur BFMTV.com

Vous pouvez suivre en direct l’intégralité du meeting de Yannick Jadot, au Zénith de Paris, avec BFMTV:

Yannick Jadot monte sur scène, au Zénith de Paris

Le candidat écologiste tente une démonstration de force ce dimanche, devant 5000 à 6000 personnes.

Le maire de Grenoble, Eric Piolle, la députée européenne Karima Delli et le Secrétaire national d’EELV Julien Bayou ont assuré la première partie.

Des clips de campagne, mettant en scène Yannick Jadot et appelant à la mobilisation, ont rythmé les différentes prises de parole.

Dans la salle, les anciens candidats à la présidentielle Eva Joly, Dominique Voynet, Noël Mamère.

Son adversaire à la primaire des écologistes, Sandrine Rousseau, est présente dans la salle. Elle a pourtant été exclue de la campagne de Yannick Jadot pour ses critiques envers le candidat.

“Le prochain président va utiliser la guerre pour nous imposer de nouveaux sacrifices”, juge Nathalie Arthaud

La candidate de Lutte Ouvrière considère que “le prochain président de la République va utiliser la guerre et toutes ses conséquences pour nous imposer de nouveaux sacrifices.”

La candidate pense notamment au recul de l’âge du départ à la retraite, souhaité par Valérie Pécresse et Emmanuel Macron.

Nathalie Arthaud pense aussi “aux conditions de travail”, aux salaires”.

Pour elle, si “le pouvoir” n’est pas en mesure d’assurer ces conditions de dignité, il faut “le renverser”, a-t-elle affirmé sur France Inter. Nathalie Arthaud dit enfin espérer “qu’on fera la révolution”.

Yannick Jadot tient un meeting au Zénith de Paris à partir de 15h30

Le candidat écologiste, à l’élection présidentielle organise un meeting ce dimanche au Zénith de Paris. Yannick Jadot est arrivé à vélo, entouré de ses équipes.

L’hymne ukrainien retentit dans la salle du Zénith avant que le candidat prenne la parole.

Le meeting d’Eric Zemmour au Trocadéro à Paris démarre à 16 heures

Le candidat de Reconquête, Eric Zemmour organise un meeting ce dimanche place du Trocadéro à Paris. Les militants arrivent sur place depuis le début d’après-midi. Près de 60 000 personnes sont attendues par les organisateurs.

Mélenchon veut parler aux électeurs “fâchés pas fachos” de Le Pen

Donné comme troisième homme dans les sondages, derrière Marine Le Pen, le candidat Insoumis assume vouloir s’adresser à ses électeurs.

“Dans les électeurs de madame Le Pen, il y a beaucoup de fachés, qui ne sont pas fachos”.

Pour se qualifier au second tour, Jean-Luc Mélenchon mise sur les abstentionnistes.

“Les quartiers populaires s’ils ne déplacent pas, c’est fini pour moi”, affirme-t-il sur France 2. Il les appelle à utiliser “l’arme suprême, le bulletin de vote” le 10 avril prochain.

Le candidat Insoumis est en meeting à Marseille ce dimanche, à partir de 15 heures.

“Je serai à l’assaut, au combat, au contact”: Emmanuel Macron veut entrer en campagne

Emmanuel Macron a assuré vouloir mener campagne, contrairement à ce que disent ses adversaires politiques, qui lui reproche d’être davantage président que candidat.

“Je serai à l’assaut, au combat, au contact”, répond-il, à propos de la séquence politique qui va s’ouvrir à partir de samedi prochain, et le meeting du président-candidat à La Défense.

Faire campagne? “J’adore ça”, assure Emmanuel Macron. Face à cette campagne présidentielle percutée par la guerre en Ukraine, il assure être le premier frustré.“ Je vis une frustration, moi le premier”.

Pour autant, il considère devoir rester “au front”, à la tête de l’Etat.
“Je fais des débats avec des journalistes, avec des citoyens (…) mais je tiens à la règle qu’un président candidat reste aussi président.” Emmanuel Macron considère que la fonction de chef de l’Etat n’a pas à aller “au milieu de l’arène” avec les “autres candidats”. “Le président doit être au front pour protéger et agir”.

La “campagne officielle” commence ce ludi, voici ce que ça va changer

La campagne officielle débute ce lundi. Installation des affiches, envoi des professions de foi, mise en place de nouvelles règles de temps de parole… L’ouverture de cette période, qui commence le deuxième lundi avant le premier tour, marque la dernière ligne droite avant le scrutin.

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Interrogé sur l’affaire McKinsey, Emmanuel Macron s’énerve

Emmanuel Macron a été interrogé sur l’affaire McKinsey, du nom de ce cabinet privé américain qui a conseillé l’Etat pour près d’un milliard d’euros l’année dernière. Des enquêtes de presse ont montré que le groupe ne paie pas d’impôt sur les sociétés en France. Des liens entre des dirigeants de McKinsey et Emmanuel Macron ont par ailleurs été révélés.

“Il y a des règles de marché public”, dont la mise en concurrence des entreprises, et elles ont été respectées par l’Etat, assure Emmanuel Macron. “Que quiconque a la preuve qu’il y a une manipulation mette le contrat en cause au pénal”, met au défi le président sortant.

Sur France 3, il ajoute: “s’il y a des problèmes, il y a des juges et une justice indépendante”.
Visiblement agacé, le président poursuit: “Il faut être très clair parce qu’on a l’impression qu’il y a des combines. C’est faux!”, s’emporte Emmanuel Macron. “Regardez les chiffres! Faites la transparence complète!,” demande le candidat.

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La réforme des retraites n’est pas “la réforme la plus importante”, estime Emmanuel Macron

Interrogé sur la réforme des retraites qu’il souhaite mener en cas de réélection, Emmanuel Macron a affirmé que ce n’était pas sa priorité.

“Les réformes les plus importantes de mon programme sont celles de l’école (…) et de la santé”.

“On lancera la concertation, on le fera de manière apaisée”, promet le président sortant.

Il a justifié la nécessité de sa réforme “nous permettre de préserver nos pensions (…) pouvoir élever la pension minimale à 1100 euros”

Le chef de l’Etat a réaffirmé l’abandon du système par point dans sa nouvelle mouture.“Je tiens au système par répartition”, assure-t-il sur France 3.

Autre précision, “la pénibilité des carrières sera prise en compte”, dans sa réforme. Enfin, l’adaptation des fins de carrière sera négociée avec les syndicats, détaille Emmanuel Macron.

Fabien Roussel sur Jean-Luc Mélenchon: “On en a marre d’entendre parler du ‘vote utile'”

Fabien Roussel, candidat communiste à la présidentielle sur Jean-Luc Mélenchon sur son concurrent de La France Insoumise : “On en a marre de voter à défaut, d’entendre parler de ‘vote utile’.”

“Je veux reconstruire une gauche”, précise Fabien Roussel.

Fabien Roussel sur la guerre en Ukraine: “Je n’ai aucune difficulté à qualifier Vladimir Poutine de dictateur”

“Je n’ai aucune difficulté à qualifier Vladimir Poutine de dirigeant nationaliste d’extrême droite, de dictateur”, souligne le canddiat du Parti communiste français à la présidentielle, Fabien Roussel sur BFMTV.

“On doit être unis contre l’invasion de l’armée russe en Ukraine”, précise le candidat.

Fabien Roussel sur Marine Le Pen en Guadeloupe: ” Tout le monde doit pouvoir présenter ses idées”

“Tout le monde doit pouvoir présenter ses idées, sans violence”, lance Fabien Roussel, candidat communiste à la présidentielle sur BMFTV à propos de la pris à partie de Marine Le Pen ce dimanche en Guaeloupe.

“Le racisme et l’antisémistimse ne sont pas une opinion, c’est un délit”, précise le candidat.

Macron “n’utiliserait pas” le terme “boucher” de Biden pour qualifier Poutine

“Il ne faut pas être dans l’escalade des mots et des actions”, prévient Emmanuel Macron. Le président sortant ne reprend pas à son compte les propos de Joe Biden. Le chef d’Etat américain a qualifié hier Vladimir Poutine de “boucher”.

“Les Etats-Unis sont des alliés mais ceux qui vivent à côté, ce sont les Européens”, précise-t-il sur le plateau de France 3. “Nous ne sommes plus en guerre froide”, estime-t-il, balayant l’idée d’une confrontation des Etats-Unis et de la Russie. “Nous ne sommes pas en guerre avec le peuple russe”, ajoute-t-il.

Emmanuel Macron se dit “choqué” par la prise à partie de Marine Le Pen, chahutée en Guadeloupe

“Je condamne avec la plus grande fermeté”. C’est la réaction d’Emmanuel Macron à la prise à partie de Marine Le Pen en Guadeloupe.

“Je combats les idées de Marine Le Pen”, mais, précise-t-il sur le plateau de Dimanche en politique, cette “scène est absolument inacceptable”, a assuré le président sortant.

“La violence en politique, c’est intolérable. On ne doit jamais s’habituer à la violence”, a ajouté Emmanuel Macron.

Sébastien Chenu sur Joe Biden: “Un sentiment de ‘génance’ absolu”

Le porte-parole du Rassemblement national, Sébastien Chenu parle sur BFMTV, ce dimanche d'”un sentiment de ‘génance” absolu” à propos du discours du président américain en Pologne hier.

“Joe Biden n’est pas un élément d’apaisement dans ce conflit”, estime le porte-parole.

Sébastien Chenu sur Marine Le Pen en Guadeloupe : “Il y a des gens qui cherchent à faire taire une candidate potentiellement victorieuse”

“Il y a des gens qui cherchent à faire taire une candidate potentiellement victorieuse”, assure Sébastien Chenu porte parole du Rassemblement national sur BFM TV, ce dimanche. Marine Le Pen a été prise à partie par des indépendantistes lors de son déplacement en Gaudeloupe.

“Ce sont des images violentes, et inacceptables. Le ministre de l’Intérieur devrait faire son travail”, ajoute le porte-parole.

L’équipe d’Emmanuel Macron lance un concours pour remplir un meeting du candidat

C’est dans un mail, envoyé aux participants, inscrits au meeting de La Défense, que l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron propose un “défi” aux soutiens du candidat. Un concours de parrainage, qui promet des récompenses aux 400 personnes “qui invitent le plus grand nombre de participants” au meeting du 2 avril du président sortant.

Il s’agit “d’inciter nos militants à attirer des curieux qui ne sont pas du sérail”, plaide l’équipe de campagne de LaREM au JDD.

Les récompenses prévues vont de la visite du QG de campagne avec apéritif inclus au “moment privilégié et unique après le meeting” pour les 5 gagnants, en passant par un “temps d’échange avec un ministre” ou encore un “portrait dédicacé” du candidat par Emmanuel Macron lui-même.

De quoi attirer les railleries des internautes et de l’opposition qui évoquent une “tombola électorale” et imaginent le “moment privilégié” de Français avec tel ou tel ministre.

Ils s’interrogent surtout sur la réelle capacité d’Emmanuel Macron de remplir une salle d’une capacité de 40.000 places, une semaine avant le premier tour d’une présidentielle qui ne passionne pas les Français.

Fabien Roussel votera pour “n’importe quel candidat de gauche qualifié au second tour”

Le directeur de la campagne de Fabien Roussel a répondu à BFMTV sur la stratégie des communistes au soir du premier tour.

“Nous voterons pour n’importe quel candidat de gauche qualifié au second tour”, explique Ian Brossat.

Mais avant le soir du 10 avril, il appelle à voter “pour ses convictions”. “Le vote sincère, c’est le vote Fabien Roussel”, selon son directeur de campagne. “A force de faire des calculs [électoraux] et de se faire des noeux dans le cerveau, on ne vote plus avec son coeur et on y perd beaucoup”, regrette-t-il.

Que ferait le PCF en cas de second tour entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron? “Nous avons toujours pris nos responsabilités”, répond Ian Brossat à BFMTV, laissant entendre que les communistes ne donneront pas leurs voix à la candidate du RN.

Cette semaine, Fabien Roussel a été plus précis encore. Il a expliqué qu’il ne “laissera jamais l’extrême droite mettre la main sur la République”. Dans une interview, il ajoute: “J’appellerai à faire barrage à l’extrême droite”. Une manière de viser ses concurrents: “c’est une différence que j’ai à gauche”, déclare-t-il, visant sans le nommer, Jean-Luc Mélenchon et ses hésitations après le premier tour de la présidentielle en 2017.

En meeting cet après-midi, Yannick Jadot veut se hisser au Zénith

Le candidat écologiste est en meeting ce dimanche au Zénith de Paris. Il espère rassembler 5000 participants ce dimanche, soit le plus grand meeting jamais organisé par la famille écologiste de France.

Dans les sondages, Yannick Jadot navigue entre 4,5 et 6,5%. Il a marqué la semaine politique en accusant TotalEnergies d’être “le complice de Poutine et des bombardements de la population civile”. Le groupe français a décidé d’attaquer le candidat écologiste pour diffamation.

En perte de vitesse, Eric Zemmour joue gros ce dimanche au Trocadéro

Ce sera son dernier grand meeting de campagne. 40.000 personnes, selon les organisateurs, sont attendues ce dimanche, à Paris, pour soutenir leur candidat, Éric Zemmour.

Le choix du lieu ne doit rien au hasard. C’est sur la place du Trocadéro que François Fillon avait tenu son grand meeting, en 2017, mobilisant une importante foule.

Eric Zemmour joue gros, sa dynamique électorale semble s’être enrayée, nous explique cet article.

Emmanuel Macron change de slogan sur son affiche de campagne

Le candidat à sa réélection a changé l’expression “avec vous” en “nous tous”, sur son affiche officielle. Selon Le JDD, ce nouveau slogan figure aussi en première page d’un tract, distribué massivement dès demain.

L’entourage du président sortant explique au journal que ce nouveau slogan vise à “incarner l’unité de la nation”, puis, en cas de second tour, “le rassemblement de toutes les sensibilités”.

Pour autant, les réseaux sociaux du candidats gardent le nom “avec vous”, selon nos constatations.

Marine Le Pen prise à partie lors de son déplacement en Guadeloupe

En déplacement en Guadeloupe hier, Marine Le Pen a été prise à partie par des indépendantistes. Les manifestants se sont introduits dans l’hôtel de la candidate RN où elle enregistrait une émission de télévision. Elle a été exfiltrée par l’extérieur. Marine Le Pen a décidé de porter plainte.

Son programme pour ce dimanche est maintenu. Elle doit notamment visiter un marché à Sainte-Anne puis rencontrer des pompiers à Sainte-Rose.

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