EN DIRECT – Présidentielle: suivez le discours d’Emmanuel Macron en meeting à Marseille sur BFMTV – BFMTV

Lors de son grand meeting à Marseille, Emmanuel Macron affirme que son projet “promet de réconcilier au lieu de diviser”, d’investir “dans l’humain, de bâtir la République de demain, de conjurer la fatalité”.

Son projet est “celui qui redonne à chaque enfant de la République sa dignité et sa place”.

À Marseille, ce samedi, Emmanuel Macron a annoncé vouloir “bâtir le début d’une nouvelle méthode”.

“De la montagne à la mer, de la métropole aux quartiers vous êtes là”: Emmanuel Macron a lancé ce samedi son meeting à Marseille.

Emmanuel Macron arrive sur scène, avec quelques minutes de retard sur ce qui était annoncé, pour son meeting d’entre-deux-tours à Marseille.

Emmanuel Macron, qui devrait avoir un discours plutôt orienté à gauche ce samedi, lors de son grand meeting d’entre-deux tours à Marseille, va simplement “réaffirmer un certain nombre de sujets au cœur de son engagement avant le premier tour mais qui n’ont pas forcément été perçus”, a affirmé Christophe Castaner sur notre antenne.

Les supporters d’Emmanuel Macron commencent à arriver, ce samedi, à son premier grand meeting d’entre-deux-tours à Marseille, dans le parc du jardin du Pharo qui surplombe le Vieux-Port.

Une ville où Jean-Luc Mélenchon était arrivé en tête au premier tour dimanche (31%), près de 9 points devant le président sortant. Sa prise de parole est attendue pour 15h15.

Le boulanger de Besançon Stéphane Ravacley, qui s’était illustré en menant une grève de la faim pour la régularisation de son apprenti guinéen et en organisant un convoi humanitaire vers l’Ukraine, a annoncé ce samedi qu’il serait candidat aux législatives des 12 et 19 juin.

“Nous sommes nombreux à être déçus par le premier tour de l’élection présidentielle, et nous ne pouvons rester sans rien faire”, a déclaré à la presse ce boulanger de 53 ans, novice en politique, pour justifier sa candidature.

“Il est grand temps d’avoir des représentants qui nous ressemblent. Je me présente pour vous proposer d’élire, pour la première fois, un boulanger à l’Assemblée”, a poursuivi celui qui se présentera dans la deuxième circonscription du Doubs, actuellement tenue par le député LaREM Eric Alauzet.

Stéphane Ravacley a appelé le Parti socialiste, Europe-Ecologie Les Verts, La France Insoumise et le Parti communiste à le soutenir. “Je veux l’addition des gauches”, a-t-il déclaré.

Une trentaine de manifestations sont organisés ce samedi à 14h partout en France contre l’extrême droite, à huit jours du second tour de l’élection présidentielle qui oppose Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Parmi les villes où se tiennent des mobilisations : Paris, Lyon, Nantes, Rennes, Nice, Lille ou encore Perpignan.

Environ 15.000 manifestants sont attendus sur tout le territoire, selon les autorités. Ils répondent à l’appel de plus de trente organisations et syndicats dont SOS Racisme, la CGT ou le Syndicat de la magistrature. Avec pour mot d’ordre : “Contre l’extrême droite et ses idées, pas de Marine Le Pen à l’Elysée”.

Le président de la République tiendra son meeting d’entre-tours au Pharo à Marseille ce samedi à 15h. Une ville dans laquelle il s’est rendu à plusieurs reprises ces derniers mois, aux côtés du maire PS, Benoît Payan.

Les deux hommes politiques s’entendent à propos de la cité phocéenne mais font partie de bords politiques bien distincts. Notre article est à lire ici.

“Il n’y a aucun malaise” avec le maire de Béziers, Robert Ménard, qui s’est mis en retrait de la campagne de Marine Le Pen jusqu’au second tour de la présidentielle, a assuré ce samedi la candidate du Rassemblement national.

Ce proche de la candidate a indiqué qu’il voterait bien le 24 avril en sa faveur malgré ses “désaccords”, et ne s’exprimerait plus d’ici au second tour.

Vendredi soir, “j’ai eu Robert au téléphone, qui m’a dit qu’il me soutenait sans aucune difficulté (…) mais qu’il souhaitait que ce soient les porte-parole de la campagne qui puissent bénéficier du temps” de parole lui étant réservé, a déclaré Marine Le Pen, interrogée par la presse lors d’un déplacement à Saint-Rémy-sur-Avre (Eure-et-Loir).

“Ce n’est pas moi qui lui ai demandé” de se mettre en retrait, a-t-elle précisé.

Marine Le Pen, candiate du Rassemblement national est en visite ce samedi à Saint-Rémy-sur-Avre dans l’Eure-et-Loir. Elle revient sur sa proposition d’interdire le port du voile.

“Je sais quels sont les problèmes liés au voile. Il y a des femmes âgées qui le mette parce que ça correspond, pour elles, à un moment de leurs vies .(…) Ça n’a pas la même signification qu’à des jeunes femmes à qui on force de le mettre.” Marine Le Pen a eu un échange vendredi sur le marché de Pertuis avec une femme voilée. Le matin-même, elle estimait “l’interdiction du voile essentielle” sur l’antenne BFMTV.

“Je ne suis pas obtue, explique ce samedi la candidate. Mais il faut régler ces problèmes des femmes qui sont obligées de mettre le voile parce qu’elles sont sous la pression des islamistes.”

C’est une évolution du programme de la candidate du Rassemblement national car elle assure que cette interdiction passera devant le Parlement.

Le port du voile est une question qui fait irruption dans cet entre-deux-tours. Un sujet sur lequel ils cultivent leurs différences de point de vue. Notre article est à lire ici.

Marine Le Pen, candidate à l’élection présidentielle est en visite ce samedi à Saint-Rémy-sur- Avre dans l’Eure-et-Loir. Elle critique une nouvelle fois les attaques de ses adversaires.

“SI le système met en oeuvre une telle diabolisation, c’est qu’il a peur. Si Emmanuel Macron était sûr de gagner, il ne serait pas obligé d’aller chercher des sportifs, des acteurs”. Faisant référence à la tribune de près de 500 artistes appelant à voter Macron publiée vendredi.

“Cette agitation brutale est assez peu respectueuse de la démocratie, explique la candidate. Le système s’inquiète.”

La candidate du Rassemblement national déplacement à Saint-Remy-sur-Avre revient sur les nombreuses manifestations prévues cette après-midi contre l’extrême droite.

“Il y a des dizaines de pays dans le monde où il n’y a pas d’élections. Venir manifester contre les résultats d’une élection, je trouve ça profondément antidémocratique. Je pense que les Français trouvent ça désagréable de voir que leur choix est contesté”, explique la candidate.

Notre article complet est à lire ici.

La candidat du Rassemblement national en visite ce samedi matin à Saint-Rémy-sur-Avre dans l’Eure-et-Loir est

“Je suis arrivée en tête dans 20.000 communes. Je ne choisis pas les villes dans lesquelles je viens en fonction des résultats que j’ai pu y faire” explique-t-elle alors qu’elle est arrivée en tête au premier tour à Saint-Rémy-sur-Avre.

“On est là dans la périurbanité, et la ruralité qui sont des sujets importants de cette campagne.”

La candidate du Rassemblement national en visite à Saint-Rémy-sur-Avre revient sur le débat avec son adversaire Emmanuel Macron, mercredi 20 avril prochain. Elle se dit “sereine” à l’approche du débat.

“Le débat c’est un moment important pour expliquer mon projet, pour montrer qu’il est crédible, applicable et qu’il correspond au besoin des Français”, explique la candidate.

Robert Ménard, le maire de Bézier et soutien historique de Marine Le Pen a déclaré dans un tweet ce samedi : “J’ai des désaccord avec Marine Le Pen que je n’ai jamais cachés. Je n’entends plus les répéter à chaque intervention médiatique. J’ai donc décidé de ne plus prendre la parole jusqu’au 2e tour.”

“Ce n’est pas pour autant un ralliement à Emmanuel Macron. Je voterai pour Marine le 24 avril” a déclaré l’élu.

Robert Ménard a annoncé vendredi se mettre en retrait de la campagne en raison de “désaccords”.

Le candidate à l’élection présidentielle du Rassemblement national est arrivée à Saint-Remy-sur-Avre dans l’Eure-et-Loir ce samedi matin.

Dans ce déplacement, elle doit y rencontrer notamment un patron d’un bar pour évoquer la question du pouvoir d’achat.

La candidate du Rassemblement national à l’élection présidentielle se rend ce samedi matin à Saint-Rémy-sur-Avre dans l’Eure-et-Loir.

Marine Le Pen est arrivé en tête dans ce département avec 28,16% des voix au premier tour de la présidentielle. Alors que plusieurs manifestations sont organisées cette après-midi contre l’extrême droite, la candidate veut se montrer dans un costume de présidente potentielle.

Jean-Luc Mélenchon et Adrien Quatennens de La France Insoumise font l’objet de nombreux mèmes sur les réseaux sociaux qui les comparent aux héros du très populaire manga One Piece ou encore Bleach.

Depuis le soir premier tour de l’élection présidentielle où Jean-Luc Mélenchon s’est hissé à la troisième place avec 21,95% des voix, les détournements se multiplient et accentuent l’engouement de ses supporters. Une communication bien rodée pour séduire un électorat jeune. Notre article est à retrouver ici.

Le candidat La République en Marche, Emmanuel Macron est attendu ce samedi à Marseille pour son dernier grand meeting de la campagne à quelques jours du second tour de l’élection présidentielle.

Le défi est de taille pour le président dans la deuxième ville de France où Jean-Luc Mélenchon est arrivé en tête des suffrages avec plus de 31% des voix dimanche soir dernier. Une manière pour Emmanuel Macron d’aller chercher l’électorat de gauche. Notre article est à retrouver ici.

Le maire Rassemblement national de Perpignan, Louis Aliot, affirme que Robert Ménard “votera et appelera à voter pour Marine Le Pen” sur l’antenne de BFMTV ce samedi matin.

Robert Ménard, le maire de Béziers et soutien de longue date de la candidate du Rassemblement national a annoncé vendredi se mettre en retrait de la campagne à cause de “désaccords”.

“Il ne veut pas systématiquement sur les plateaux de télévisions qu’on discute de ce qu’on ne partage pas. Il se retire de l’aspect médiatique de la campagne”, précise Louis Aliot.

Invité de BFMTV ce samedi matin, Louis Aliot maire Rassemblement national de Perpignan (Pyrénées-Orientales) réagit aux manifestations organisées cette après-midi contre l’extrême droite.

“C’est le peuple qui choisit, souligne l’édile. C’est l’élite qui organise ce genre d’événement et nous n’allons pas nous arrêter à ça. Marine Le Pen est sur le terrain.”

“Le candidat le plus âgé est celui qui a été le plus soutenu par les jeunes”, analyse la fondation Jean-Jaurès qui qualifie Jean-Luc Mélenchon, 70 ans, de “Sanders français”, du nom de la figure de la gauche américaine Bernie Sanders, dans une note publiée ce samedi.

L’étude met en lumière les composantes distinctes de l’électorat de Jean-Luc Mélenchon, telle la tranche d’âge 18-24 ans qui ont voté à 36% pour le candidat de l’Union populaire car attentifs au réchauffement climatique et aux “nouveaux combats culturels de la gauche”, notamment le “féminisme” et l'”antiracisme”.

Largement devancé chez les 18-24 ans par Jean-Luc Mélenchon dimanche dernier, objet de mobilisations hostiles chez les étudiants notamment à la Sorbonne, Emmanuel Macron peine décidément à convaincre ce pan de l’électorat. Sur notre plateau, Olviier Dussopt a fustigé un “épiphénomène”. 

Assurant cependant faire “tous les jours”, son “examen de conscience”, il a ajouté: “Ça m’inquiète plus quand ce sont des Français qui ont dû mal à boucler le mois” 

Olivier Dussopt, ministre délégué aux Comptes publics, est notre invité ce samedi matin. Il a commenté le déplacement marseillais du président de la République: “Il s’agit de convaincre tous les électeurs”. “Il aura l’occasion de s’adresser à tous les Français à Marseille”, a-t-il insisté.

Face au risque de voir un large pan de l’électorat renvoyer son candidat et celle du RN dos-à-dos, Olivier Dussopt a promu le programme “permettant d’avancer, d’ancrer la France en Europe et d’être indépendant des grandes puissances”, qu’il prête à Emmanuel Macron. Il a en revanche dénoncé un porgramme renvoyant “aux fondamentaux de l’extrême droite et fait de bric et de broc”, côté Marine Le Pen, selon lui. “La France est une projection”, a-t-il conclu.

Une trentaine de manifestations sont prévues samedi en France pour dire “non à l’extrême droite”, à huit jours du second tour de la présidentielle opposant Marine Le Pen à Emmanuel Macron.

Environ 15.000 manifestants sont attendus sur tout le territoire, selon les autorités. Ils répondent à l’appel de plus de trente organisations et syndicats dont SOS Racisme, la CGT ou le Syndicat de la magistrature. Ces mobilisations auront pour mot d’ordre : “Contre l’extrême droite et ses idées, pas de Marine Le Pen à l’Elysée”.

Ce samedi, à compter de 15h, Emmanuel Macron doit donner un meeting dans les jardins du Pharo à Marseille, où il a été devancé par Jean-Luc Mélenchon dans les urnes au premier tour de la présidentielle.

Les organisateurs attendent jusqu’à 5000 personnes dans ce lieu surplombant la cité phocéenne.

Marine Le Pen se déplace quant à elle en Eure-et-Loire, un département où sa candidature est apparue en position de force dimanche dernier.