EN DIRECT – Obsèques de George Floyd : le révérend Sharpton appelle à “nettoyer la Maison Blanche” – LCI
RACISME – L’indignation ne retombe pas après la mort de George Floyd, asphyxié sous le genou d’un policier blanc. Ces lundi 8 et mardi 9, des milliers d’Américains se sont rassemblés à Houston pour lui rendre hommage.
Plusieurs élus démocrates, dont le maire de Houston, Sylvester Turner qui a annoncé une réforme de la police de la ville, ont pris la parole à la tribune, mais c’est la jeune nièce de George Floyd qui s’est aventurée le plus avant sur le terrain politique.
“Certains disent qu’il veut rendre leur grandeur à l’Amérique“, a lancé Brooke Williams, en référence au slogan de campagne de Donald Trump. “Mais quand est-ce que l’Amérique a été grande ?“, s’est-t-elle interrogé en dénonçant la “haine raciale” aux Etats-Unis.
“La première chose que nous devons faire est nettoyer la Maison Blanche“, en a conclu, sous les applaudissements de l’église, le révérend Bill Lawson en appelant les Américains à “voter“.
“L’heure de la justice raciale” est venue aux Etats-Unis, a lancé mardi le candidat démocrate à la présidentielle Joe Biden dans une vidéo diffusée pendant la cérémonie d’obsèques de George Floyd.
Aux funérailles de George Floyd, Joe Biden appelle à “une justice raciale”
Plusieurs élus démocrates, dont le maire de Houston, Sylvester Turner qui a annoncé une réforme de la police de la ville, ont pris la parole à la tribune, mais c’est la jeune nièce de George Floyd qui s’est aventurée le plus avant sur le terrain politique.
“Certains disent qu’il veut rendre leur grandeur à l’Amérique“, a lancé Brooke Williams, en référence au slogan de campagne de Donald Trump. “Mais quand est-ce que l’Amérique a été grande ?“, s’est-t-elle interrogé en dénonçant la “haine raciale” aux Etats-Unis.
“La première chose que nous devons faire est nettoyer la Maison Blanche“, en a conclu, sous les applaudissements de l’église, le révérend Bill Lawson en appelant les Américains à “voter“.
Le président américain Donald Trump “n’a pas eu un mot” pour le calvaire de George Floyd, a accusé le révérend Al Sharpton lors des obsèques, mardi au Texas, de cet Afro-Américain tué par un policier blanc.
“Le président a parlé d’appeler les militaires en renfort” pour ramener le calme dans les villes secouées par des violences suite à ce drame, a relevé cette figure des droits civiques. “Mais il n’a pas eu un mot pour les 8 minutes et 46 secondes de ce meurtre policier”, a-t-il ajouté.
Donald Trump a initialement dénoncé une “mort triste et tragique” mais a depuis mis l’accent sur les violences des manifestants en marge des protestations contre le racisme et les brutalités policières.
Représentante démocrate de la circonscription de Houston au Congrès américain, Sheila Jackson Lee a dit, pendant les funérailles, espérer que George Floyd ne soit pas mort en vain.
Il avait pour “mission” sur Terre de “faire se lever les gens et qu’ils ne rassoient pas tant qu’ils n’auraient pas obtenu justice“, a-t-elle dit.
Très applaudie, elle a fait savoir que les anciens présidents démocrates Bill Clinton et Barack Obama avaient écrit à la famille de George Floyd, à laquelle a également été remis un drapeau américain au nom de la présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi.
Cette dernière s’était symboliquement agenouillée la veille au Congrès à Washington avec d’autres élus démocrates avant de présenter une proposition de loi visant à réformer la police aux Etats-Unis.
Les funérailles de George Floyd ont lieu ce mardi à Houston, au Texas, quinze jours après la mort de cet Américain noir asphyxié par un policier blanc dont le calvaire a suscité des manifestations monstres dans tous les Etats-Unis.
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Les funérailles de George Floyd, qui se déroulent ce mardi à Houston, se révèlent “solennelles, nationales et politiques” selon Amandine Atalaya, correspondante à Washington pour TF1-LCI.
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Les leaders de la gauche et des Verts ont posé un genou à terre pendant 8 minutes 46 de silence mardi soir lors d’une manifestation en mémoire de George Floyd et contre le racisme dans la police, place de la République à Paris.
Jean-Luc Mélenchon (LFI), Olivier Faure (PS), Yannick Jadot (EELV), Fabien Roussel (PCF) figuraient parmi les centaines de personnes rassemblées mardi à l’appel de SOS Racisme, en écho à une cérémonie en mémoire de George Floyd à Houston aux Etats-Unis.
Suivez notre direct sur la manifestation mardi soir place de la République
EN DIRECT – Mort de George Floyd : un silence de 8 minutes et 46 secondes à Paris
La cérémonie était réservée à 500 invités, des proches, quelques personnalités comme l’acteur Jamie Foxx ou le boxeur Floyd Mayweather, ainsi que des élus, tous priés de porter un masque en raison du nouveau coronavirus.
“Nous voulons que la famille sache qu’elle n’est pas seule“, a déclaré le parlementaire démocrate Al Green à son arrivée, en espérant que le mouvement de colère ait “un impact” durable.
Les proches de George Floyd se sont étreints devant son cercueil ouvert, tandis qu’un groupe de gospel entamait des chants enlevés.
Le silence s’était en revanche imposé à l’arrivée du cercueil, pour lequel des policiers ont formé une haie d’honneur.
Parmi les personnes présentes, l’élu démocrate du Texas Al Green qui s’est adressé à la famille de George Floyd.
“Ceci est plus qu’un moment isolé dans le temps, c’est un mouvement qui influence toute notre époque“, a-t-il affirmé.
La destruction de statues de figures historiques et politiques, comme celle d’un marchand d’esclaves par des manifestants antiracistes à Bristol (Royaume-Uni), est un symbole de libération ou de rébellion qui compte de nombreux précédents dans le monde.
Dimanche, lors d’une manifestation contre le racisme et en hommage à George Floyd – un Noir américain tué fin mai par un policier blanc aux Etats-Unis – la statue d’Edward Colston, marchand d’esclaves de la fin du 17e siècle qui a financé de nombreuses institutions de Bristol, a été jetée à l’eau.
En Belgique, une statue de l’ex-roi Léopold II, figure controversée du passé colonial du pays a été retirée d’un square à Anvers mardi après avoir été vandalisée.
Blâmé pour sa gestion de la crise du coronavirus puis pour sa réponse aux manifestations depuis la mort de George Floyd, Donald Trump dégringole dans les sondages. Est-ce un tournant dans sa popularité ou un simple soubresaut ?
Trump dévisse dans les sondages : un tournant pour la présidentielle de novembre ?
Le procureur de Brooklyn va inculper mardi un policier accusé d’avoir violemment repoussé une manifestante le 29 mai à Brooklyn. C’est la première inculpation contre la police new-yorkaise depuis le début des manifestations contre les violences policières qui ébranlent les Etats-Unis.
La cérémonie sera réservée à 500 invités, des proches, quelques personnalités comme le rappeur Paul Wall ou le boxeur Floyd Mayweather, ainsi que des élus. Comme lors d’un premier hommage à Minneapolis, jeudi, le sermon sera prononcé par le révérend Al Sharpton, figure de la défense des droits civiques.
George Floyd sera ensuite transporté jusqu’à un cimetière voisin, où il sera enterré aux côtés de sa mère Larcenia décédée en 2018, dont il avait le surnom “Cissy” tatoué sur la poitrine. Lors de son calvaire, il avait supplié le policier Derek Chauvin de le relâcher en implorant “Maman”.
La majorité du président sénégalais Macky Sall a formulé mardi un message de condamnation de la mort de George Floyd, encore rare en Afrique, de protestation auprès des autorités américaines et de solidarité avec les Afro-Américains.
Des telles expressions officielles, et plus généralement les manifestations publiques sont restées rares sur le continent, malgré la vague de protestations suscitée aux Etats-Unis et dans le monde par la mort de George Floyd, tué par un policier blanc lors de son arrestation le 25 mai à Minneapolis.
Avant des obsèques plus intimes ce mardi après-midi, la ville de Houston a rendu un dernier hommage à George Floyd à l’église The Fountain of Praise.
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Plusieurs organisations, dont la CGT et la Ligue des droits de l’Homme (LDH), demanderont jeudi au Conseil d’Etat de trancher sur l’interdiction des rassemblements de plus de dix personnes, synonyme selon elles d’une “interdiction générale et absolue des manifestations”.
L’audience de référé (en urgence) se tient alors que les manifestations se multiplient en France pour saluer la mémoire de l’Américain George Floyd et pour dénoncer les violences policières et le racisme. Le 2 juin, un rassemblement interdit par la préfecture de police a rassemblé quelque 20.000 personnes devant le tribunal judiciaire de Paris.
Les autorités ne doivent pas “chercher à mettre sous le tapis” la question du racisme au sein de la police, dont la formation “doit être renforcée”, estime le président de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage et ancien Premier ministre Jean-Marc Ayrault.
La vague planétaire d’indignation antiraciste, née du meurtre aux Etats-Unis de l’Afro-Américain George Floyd par un policier blanc, a fait émerger en France l'”espérance” de sortir enfin d’une “loi du silence” sur certains comportements racistes des forces de l’ordre, a-t-il affirmé mardi.
Une statue de l’ex-roi des Belges Léopold II, figure controversée du passé colonial de la Belgique, a été retirée d’un square mardi à Anvers (nord) pour être entreposée dans les réserves d’un musée local.
Cette statue située à côté d’une église à Ekeren, sur la commune d’Anvers, avait été vandalisée la semaine dernière, comme plusieurs autres sculptures représentant Léopold II.
Ce descendant de la dynastie allemande des Saxe-Cobourg qui fut le roi des Belges de 1865 à 1909 est notamment resté dans les mémoires pour avoir colonisé le Congo, pays (l’actuelle RDC) qui fut longtemps sa propriété privée.
Le racisme est-il un phénomène systémique au sein de l’institution policière ? La question se pose avec insistance depuis la mort de George Floyd, sous le genou d’un policier blanc, aux Etats-Unis. Les agents de la paix, eux, nient tout problème systémique. Et vont même jusqu’à dénoncer… un “racisme anti-blanc”.
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Edouard Philippe s’est rendu ce mardi à Evry pour rencontrer des policiers qui travaillent dans les quartiers difficiles, au lendemain d’annonces du gouvernement pour améliorer la déontologie des forces de l’ordre. Il a appelé au “respect et à la confiance” mais aussi à “l’exigence” vis-à-vis des dépositaires de l’autorité publique.
“Petit pas en avant” ou “climat de soupçon” sur la police : l’opposition clivée après les annonces de Castaner
Edouard Philippe a appelé mardi au “respect et à la confiance” envers la police, mais aussi à “l’exigence”, reconnaissant une “émotion très grande” dans le contexte de la vague internationale d’indignation antiraciste et le mouvement en France dénonçant des violences policières.
Edouard Philippe appelle au “respect et à la confiance” mais aussi à “l’exigence” vis-à-vis des forces de l’ordre
Plusieurs organisations, dont la CGT et la Ligue des droits de l’Homme (LDH), demanderont mercredi au Conseil d’Etat de trancher sur l’interdiction des rassemblements de plus de dix personnes, synonyme selon elles d’une “interdiction générale et absolue des manifestations”.
L’audience de référé (en urgence) qui démarrera à 9H30 se tient alors que les manifestations se multiplient en France pour saluer la mémoire de l’Américain George Floyd et pour dénoncer les violences policières et le racisme. Le 2 juin, un rassemblement interdit par la préfecture de police a rassemblé quelque 20.000 personnes devant le tribunal judiciaire de Paris.
Le ministre de l’Intérieur a annoncé la fin de certaines techniques pratiquées par les forces de l’ordre notamment la méthode de “l’étranglement” qui sera abandonnée. Il est resté évasif sur celle du plaquage ventral, qui aurait causé la mort par “asphyxie” en janvier dernier de Cédric Chouviat.
La famille Chouviat regrette que Christophe Castaner n’interdise pas le plaquage ventral
Christophe Castaner estime qu’il ne dispose pas d’éléments mettant en cause des agents concernant la mort de ce livreur mort à Paris, en janvier 2020, lors de son interpellation.
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Dans un communiqué, le syndicat de police Alternative Police CFDT repproche au ministre de l’Intérieur Christophe Castaner de désavouer les forces de l’ordre.
“S’il est incontestable de lutter contre les racismes et les dérapages policiers menant à des violences, Alternative Police CFDT n’accepte pas l’amalgame et la généralisation qui est faite du problème sur la base de comportements individuels très marginaux (…). C’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. La révolte policière est sur le point d’éclater comme elle n’a jamais éclaté en France depuis 2001. Les événements de 2016 sont de la rigolade par rapport aux différents retours que nous avons du terrain.”
En 2019, “une trentaine d’enquêtes judiciaires ont été engagées contre des policiers sur des propos racistes”, a déclaré mardi le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner qui souhaite désormais qu’une suspension administrative soit engagée systématiquement dans ces cas-là.
“L’année dernière, il y a eu trente enquêtes judiciaires engagées au sein de l’IGPN (Inspection générale de la police nationale) contre des policiers sur des propos racistes”, a déclaré Christophe Castaner au micro de BFM TV/RMC. “Huit de ces enquêtes judiciaires ont été classées sans suite et 22 ont été transmises à la justice”, a-t-il précisé.
Les policiers concernés n’ont cependant pas tous été révoqués. “Il faut attendre la fin de la procédure et c’est ce que je veux changer”, a dit le ministre de l’Intérieur, précisant ses annonces de lundi sur la “suspension en cas de soupçon avéré” de racisme.
Le point de vue de Jean-Michel Aphatie sur les violences policières.
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Edouard Philippe vient d’arriver au commissariat d’Evry, où il doit rencontrer des policiers.
Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner est présent a Evry, où Edouard Philippe est attendu d’un instant à l’autre.
Les manifestations pour George Floyd ne sont “pas autorisées dans les faits” mais “il n’y aura pas de sanctions” : c’est ce qu’a annoncé ce mardi matin sur BFMTV Christophe Castaner.
“(Les manifestations) ne sont pas (autorisées) dans les faits (…) mais l’émotion mondiale, qui est saine sur ce sujet, dépasse au fond les règles juridiques qui s’appliquent”
Le ministre de l’Intérieur a également précisé concernant d’éventuels propos racistes sur des groupes Facebook qu’il “engagera des procédures si les propos sont considérés comme publics”.
La ville de Houston, au Texas, se prépare à accueillir mardi les funérailles de George Floyd, au lendemain de la comparution pour la première fois devant la justice du policier accusé de son meurtre.
Lundi, un dernier hommage public a été rendu dans la métropole texane à cet homme noir de 46 ans qui y a longtemps vécu. Plus de 6.000 personnes se sont réunies devant l’église Fountain of Praise pour lui dire adieu avant ses obsèques mardi dans l’intimité familiale, selon un organisateur.
Ses funérailles doivent commencer vers 11H00 locales. D’après l’avocat de la famille, Ben Crump, le révérend et leader américain des droits civiques Al Sharpton fera de nouveau son éloge funèbre.
Un homme qui se décrit lui-même comme un “leader” du groupe raciste Ku Klux Klan a comparu lundi devant un tribunal américain pour avoir lancé sa voiture contre des personnes qui protestaient pacifiquement après la mort de George Floyd, a annoncé la justice.
“Harry H. Rogers, 36 ans, est accusé d’agression et de coups et blessures, de tentative de blessure malveillante et de vandalisme criminel. Des accusations supplémentaires font l’objet d’une enquête”, a tweeté Shannon Taylor, la procureure du comté de Henrico, en Virginie.
L’homme s’est rendu “avec témérité” vers un groupe de manifestants, a fait tourner son moteur et a lancé son véhicule sur eux, a-t-elle précisé dans un communiqué officiel diffusé sur Twitter.
Le procureur de la ville de Los Angeles a annoncé lundi qu’il n’engagerait pas de poursuites criminelles contre les milliers de manifestants arrêtés ces derniers jours pour avoir enfreint le couvre-feu, dès lors qu’ils n’ont commis ni vol ni vandalisme ni violence. “Les manifestations pacifiques sont Profondément importantes, et ces manifestations ont ravivé des efforts nécessaires pour changer les coeurs, les esprits et les institutions. Nous ne pouvons pas laisser passer cette opportunité comme nous l’avons trop souvent fait par le passé“, écrit le procureur de Los Angeles dans un communiqué.
Selon un organisateur, plus de 6.000 personnes se sont réunies devant l’église Fountain of Praise ce lundi pour dire adieu à George Floyd, avant ses obsèques mardi dans l’intimité familiale.
“Je vous remercie tous d’être venus voir mon frère”, a lancé Philonise Floyd à l’adresse de la foule venue rendre hommage à George Floyd, à Houston. “Cela fait très mal d’être ici, c’est dur et douloureux”, a-t-il ajouté, en sanglots.
Une longue queue avait commencé à se former dès la matinée devant l’église Fountain of Praise, dans le sud de la métropole texane, où s’est tenue la cérémonie. Invitée par la famille Floyd, la mère d’Eric Garner, mort asphyxié par un agent blanc à New York en 2014, a pris la parole : “Ils ont recommencé, ils ont pris une autre vie”, a dénoncé Gwen Carr. “C’est pourquoi justice doit nous être rendue”, a-t-elle ajouté, en affirmant que les “brebis galeuses” devaient être sorties des rangs de la police américaine.
Le parti La République en marche (LREM) a annoncé qu’il s’associerait ce mardi à l’hommage international à George Floyd, à 18 heures, heure de Paris, “en observant 8 minutes 46 secondes de silence en sa mémoire”.
“Si la situation en France n’est en rien comparable à celle des États-Unis, il faut entendre le cri de colère manifesté par une grande partie de la jeunesse française ces derniers jours pour dénoncer le racisme, la haine et toute forme de discrimination et de violences”, estime la formation politique d’Emmanuel Macron dans un communiqué.
A l’appel de SOS Racisme, une trentaine d’associations, partis politiques et collectifs comptent se mobiliser ce mardi au moment où auront lieu les obsèques de George Floyd, tué à Minneapolis le 25 mai dernier par un policier.
Obsèques de George Floyd : nouveaux appels à rassemblements à Paris et dans plusieurs villes ce mardi
La cérémonie d’hommage à George Floyd vient juste de commencer à l’église The Fountain of Praise à Houston (Texas). De très nombreux amis de l’Afro-américain et beaucoup d’anonymes se sont rendus sur place. Les membres de la famille du défunt, eux, n’y sont pas car ils s’apprêtent à rencontrer le candidat démocrate à la présidentielle, Joe Biden, venu présenter ses condoléances.
Cérémonie d’hommage à George Floyd à Houston : de nombreux participants sur place
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