EN DIRECT – Gérard Larcher évoque “sa déception” au sujet du départ d’Eric Woerth – BFMTV

Valérie Pécresse dévoile son logo de campagne

Le V de “Valérie” et de “victoire”, aux couleurs du drapeau tricolore. Voici le nouveau logo de campagne de Valérie Pécresse.

Le nouveau logo de campagne de Valérie Pécresse
Le nouveau logo de campagne de Valérie Pécresse © BFMTV

Gérard Larcher évoque “sa déception” au sujet du départ d’Eric Woerth

Présent au Zénith de Paris pour le meeting de Valérie Pécresse, le président du Sénat est revenu sur le départ d’Eric Woerth pour Emmanuel Macron.

“Eric Woerth, c’est évidemment une déception. C’est d’ailleurs une déception qui touche dans l’amitié. Mais c’est aussi une incompréhension. J’ai le souvenir de ce qu’il disait pour le budget 2020, un budget de dépenses incontrôlées. J’avoue que je ne comprends pas bien”, a jugé le patron de la chambre haute sur BFMTV.

Plusieurs ténors de droite ont souligné les déclarations contradictoires de l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy.

Eric Zemmour déclare son amour “aux travailleurs étrangers et immigrés” “très dévoués”

Eric Zemmour a adressé une déclaration d’amour inattendue ce dimanche.

“Il y a évidemment des gens très utiles, très travailleurs, très dévoués chez les étrangers et les immigrés. C’est une évidence, mais il faut le redire. Et je les respecte, et même, je les aime”, a expliqué le polémiste sur Sud Radio.

Le candidat à la présidentielle a été condamné le 17 janvier dernier pour appel à la haine raciale. Il a fait appel.

Une “péripétie de campagne”: Jordan Bardella minimise le ralliement de Stéphane Ravier en faveur d’Eric Zemmour

Le président par intérim du Rassemblement national (RN) Jordan Bardella a réagi peu après l’annonce ce matin du départ du sénateur de son camp Stéphane Ravier pour rejoindre la campagne d’Eric Zemmour, la qualifiant de simple “péripétie de campagne” sur RTL.

“C’est un grand mercato depuis septembre”, a cependant déploré Jordan Bardella, à propos de la série de défection que rencontre le RN depuis plusieurs mois.

“Ils rejoignent un candidat qui n’a aucune chance de gagner au second tour”, a-t-il lancé.

Les eurodéputés Gilbert Collard et Jérôme Rivière ont notamment déjà choisi de quitter le RN en faveur du polémiste.

Hijabeuses: “dans le sport il ne faut ni religion ni politique” pour Castaner

Après le vote par le Sénat d’un amendement interdisant le port du voile dans les compétitions sportives, le collectif Les Hijabeuses a manifesté contre cette position.

“En France, on hystérise le débat (sur les signes religieux). L’instrumentalisation du voile est unique au monde. Dans le sport, il ne faut ni religion ni politique”, a estimé Christophe Castaner, le patron des députés LREM.

Sa collègue Elisabeth Moreno, la ministré déléguée à l’Egalité femmes-hommes a estimé de son côté que les femmes “ont le droit” de porter le voile pendant des compétitions.

“Tout va bien se passer Madame”: Castaner juge “la symbolique” des propos de Darmanin “mauvaise”

Après la passe d’armes entre Gérald Darmanin et Apolline de Malherbe sur les chiffres de la délinquance, le ministère de l’Intérieur lui indiquant que “tout” allait “bien se passer”, Christophe Castaner a regretté cette expression.

“On ne peut pas réduire son propos. Il a eu l’occasion de dire qu’il regrettait. Il a utilisé des mots qu’il avait déjà utilisé avec des hommes. Dans notre posture politique de mâle dominant, nous devons allons encore plus loin et être exemplaire. (…) La symbolique est effectivement mauvaise”, a jugé le président du groupe parlementaire LREM à l’Assemblée nationale.

Il n’y a “aucun malaise” entre Edouard Philippe et Emmanuel Macron pour Christophe Castaner

Alors que les tensions sont montées ces dernières semaines entre Edouard Philippe et la macronie, sur fond d’inquiètude au sujet des futures attributions aux législatives pour les membres d’Horizons, Christophe Castaner nie tout conflit.

“Je l’ai entendu à plusieurs reprises rappeler son engagement total derrière Emmanuel Macron (…). Je pense qu’il n’y a aucun malaise”, juge le patron des députés LREM.

Christophe Castaner assure que “beaucoup d’électeurs de gauche” se retrouvent dans la politique d’Emmanuel Macron

Eric Woerth, Natacha Bouchart, Nora Berra… Les ralliements engrangés par Emmanuel Macron ont eu lieu sur les bancs de la droite. De quoi faire dire à certains que la macronie penche de plus en plus à droite.

“Beaucoup d’électeurs de gauche se retrouvent dans notre politique et nous accompagnent”, juge de son côté Christophe Castaner.

Christophe Castaner ne “doute pas” qu’Emmanuel Macron sera candidat pour sa réélection

Alors qu’Emmanuel Macron ne cesse de laisser planer le doute sur son entrée en campagne à moins de 2 mois du premier tour, Christophe Castaner assume cette stratégie

“Je suis convaincu qu’il gagne à être dans cette fonction-là pour protéger le pays (…). Je ne doute pas qu’il soit candidat. Il lui appartient de décider le moment. Il faudrait que dans les jours qui viennent, les semaines qui viennent, il soit candidat (…) Personne ne doute qu’il le sera”, a avancé le patron des députés LREM.

Le président a jusqu’au 4 mars, le jour de la fin des dépôts de parrainage d’élus locaux devant le Conseil constitutionnel, pour se déclarer. Il a déjà récolté le nombre de signatures nécessaires pour être présent au premier tour.

Christophe Castaner assure “n’avoir rien donné” à Eric Woerth en échange de son ralliement

Christophe Castaner a réagi au ralliement d’Eric Woerth cette semaine à Emmanuel Macron. Alors que plusieurs ténors de la droite estiment que l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy a négocié son arrivée sur les bancs de la macronie, le patron des députés LREM dément.

“On ne lui a rien donné. Le président de la commission des finances a fait en sorte que les 2 derniers budgets soient soutenus. Et donc oui, il a changé, il passe à l’acte”, a décrypté l’ancien ministre de l’Intérieur, précisant qu’Eric Woerth n’avait pas pris sa carte auprès de son parti.

Christophe Castaner juge faible la mobilisation des “convois de la liberté” tout en reconnaissant “la colère”

7.600 personnes se sont rendues à Paris ce samedi par le biais des “convois de la liberté” pour dénoncer notamment le déploiement du pass sanitaire, d’après les chiffres du ministère de l’Intérieur.

“Il y avait globalement assez peu de monde dans cette mobilisation mais ça n’enlève rien à la colère”, a estimé Christophe Castaner sur BFMTV.

Près de 7.200 policiers et gendarmes sont déployés jusqu’à lundi “pour faire respecter les interdictions de convois de véhicules”, selon la préfecture de police de Paris.

En cas d’acte de guerre contre Kiev, il “ne restera pas impuni”, prévient Christophe Castaner

Alors qu’Emmanuel Macron et Vladimir Poutine ont discuté par téléphone de la situation militaire en Ukraine ce samedi, le ton est monté avec les Etats-Unis. Joe Biden a averti de son côté Moscou de “répercussions sévères et rapides” en cas d’attaque russe.

“S’il y a avait un acte de guerre contre l’Ukraine, celle-ci ne restera pas impuni”, a avancé le président du groupe LREM à l’Assemblée nationale sur BFMTV.

Crise entre la Russie et l’Ukraine: “la seule réponse, c’est la voie diplomatique” pour Castaner

Alors que les Etats-Unis s’alarment d’une invasion imminente de l’Ukraine par la Russie, la France tente de calmer le jeu.

“Je sais que c’est une crise grave. La seule réponse, c’est la voie diplomatique. Emmanuel Macron a eu très longuement par téléphone Vladimir Poutine. (…) Nous prendrons nos responsabilités mais il ne s’agit pas d’être belliqueux pour être belliqueux”, a expliqué Christophe Castaner, le patron des députés LREM, sur BFMTV.

L’Elysée a fait savoir à Moscou “sa détermination à agir”, jugeant qu’un “dialogue sincère n’était pas compatible avec une escalade”.

“Ma grande réforme? C’est le droit de mourir dans la dignité”, défend Christiane Taubira

L’ancienne Garde des Sceaux qui avait porté la loi sur le Mariage pour Tous annonce dans les colonnes du Parisien qu’elle veut désormais une réforme pour permettre l’assistance médicale active à la fin de vie.

Ma grande réforme? C’est le droit de mourir dans la dignité. C’est un vieil engagement chez moi. Il faut qu’on crée les conditions pour l’assistance médicale active à la fin de vie. C’est une loi indispensable et urgente. La loi Claeys Leonetti a structuré et encadré ce type de situation mais ne concerne que la fin proche. Il y a des situations où il peut être insupportable de vivre sans que, médicalement, la fin soit proche. Il faut permettre à ces personnes de partir vraiment dans la dignité. Ce sera ma prochaine bataille.

Le député LaREM Christophe Castaner sera l’invité de BFM Politique à 12h

Christophe Castaner, président du groupe LaREM à l’Assemblée nationale et député des Alpes-de-Haute-Provence, sera l’invité de BFM Politique ce dimanche à 12h.

Le sénateur RN Stéphane Ravier rallie Eric Zemmour

Le sénateur RN Stéphane Ravier rallie la candidature de l’ancien journaliste Eric Zemmour après de vives tensions entre l’élu marseillais et le RN, a-t-il annoncé ce dimanche sur Cnews.

D’autres anciens cadres du parti de Marine Le Pen comme Damien Rieu, Gilbert Collard ou Jérôme Rivière ont déjà décidé de soutenir l’ancien polémiste.

>> Plus de détails à lire ici.

“Je ne partirai pas”: Woerth assure ne pas vouloir démissionner de son mandat à la Commission des finances

L’ancien ministre, désormais président de la Commission des finances, a assuré sur Cnews ce dimanche qu’il ne “partirai(t) pas” et ne démissionnerait pas de son mandat, à moins de deux mois de la présidentielle, malgré son ralliement à Emmanuel Macron.

“Je rappelle qu’il n’y a plus de vote et qu’il n’y a plus non plus de travaux de contrôle à la commission des finances. On est seulement dans des auditions donc non, je ne veux pas démissionner de ce mandat”, a-t-il justifé.

“Je sais bien que cela ferait plaisir à certains, mais désolé, je ne le ferai pas”, a-t-il répété.

Le règlement de l’Assemblée nationale impose pourtant que la présidence de la commission des finances revienne à un groupe membre de l’opposition.

“Je pars pour des raisons idéologiques et pragmatiques”: Woerth nie tout débauchage en ralliant Macron

Eric Woerth explique ne pas soutenir Valérie Pécresse “pour des raisons idéologiques et pragmatiques”, niant tout débauchage, sur Cnews ce dimanche.

L’ancien ministre espère un second mandat d’Emmanuel Macron, qualifiant cette éventualité de “chance pour la France” qui serait “nécessaire pour le pays”,

L’ancien ministre a reconnu avoir critiqué Emmanuel Macron par le passé, mais a souligné sa “maturité” et sa “capacité à comprendre le pays”.

“Macron n’est pas le diable”, assure-t-il, soutenant que “l’intérêt du pays surplombe tout”.

“Je ne renie pas (ma famille politique)”: Woerth assure ne pas être un “traître” après son ralliement à Macron

L’ancien ministre Eric Woerth a dit avoir “évolué” sur CNews ce dimanche à propos de son ralliement à Emmanuel Macron dans le cadre de la campagne présidentielle, tout en considérant Les Républicains comme étant toujours “(sa) famille politique”.

“Le mot traître n’est pas agréable, je ne pense pas en être un”, se défend-il. “C’est toujours mes amis, c’est ma famille politique, je ne la renie pas”, estime-t-il à propos des Républicains.

“Simplement, j’ai évolué. Je ne suis pas militant jusqu’à l’aveuglement”, a-t-il expliqué, assurant que dans son camps “certains s’aveuglent eux-mêmes”.

Eric Woerth avait annoncé au Parisien mercredi qu’il apportait son soutien à Emmanuel Macron, et non à Valérie Pécesse, dans le cadre de l’élection présidentielle.

Jean-Luc Mélenchon réunit ses soutiens à Montpellier ce dimanche

Le candidat des Insoumis Jean-Luc Mélenchon sera en meeting à l’Arena de Montpellier à partir de 14h. Pas d’hologramme ou de diffuseur d’odeurs cette fois-ci, mais des caméras à 360° degrés sont prévues dans la salle pour celui qui aime innover dans cet exercice politique.

Il s’agira d’une nouvelle occasion de rassembler ses soutiens pour le candidat de la gauche placé le plus haut dans les intentions de vote, avec 10% des sondés déclarant vouloir voter en sa faveur.

Pécresse en meeting ce dimanche pour tenter de relancer sa campagne

La candidate des Républicains tient ce dimanche après-midi à 14h30 un grand meeting de campagne présidentielle au Zénith de Paris, avec pour objectif de redynamiser une campagne qui patine et qui a été mise sur la défensive ces derniers jours.

Il s’agira de son premier meeting d’ampleur, alors qu’elle marque désormais le pas dans les sondages, située dans un mouchoir de poche avec Eric Zemmour et Marine Le Pen et loin derrière Emmanuel Macron.

>> Tous les détails dans notre article.

Des “anticorps” aux discours identitaires: Hidalgo appelle les Outre-Mer à faire barrage aux extrêmes

La candidate socialiste à la présidentielle a appelé les Français d’Outre-Mer à se positionner comme “anticorps” face aux discours identitaires, lors d’un déplacement en Guadeloupe, dans la nuit de samedi à dimanche.

“Dans ce moment où les questions identitaires occupent les débats, les Outre-mer sont des sentinelles et des anticorps par rapport à ce qui est en train de miner notre République”, a-t-elle appelé, faisant référance à Marine Le Pen et Eric Zemmour, qui continuent de profiter d’intentions de vote élevées.

La candidate a regretté que “ces cinq dernières années aient creusé les inégalités, la dette climatique”. “Nous sommes entrés dans une situation où la violence est partout”, a-t-elle déploré.

“Je suis la seule qui peut battre (Macron)”: Pécresse assure que le chef de l’Etat a “peur” du face-à-face

Face aux doutes sur ses chances d’emporter la course à l’Elysée, Valérie Pécresse pointe du doigt ce dimanche Emmanuel Macron, candidat toujours non déclaré. Sa campagne patine “parce que le Président de la République n’est pas candidat”, estime-t-elle dans le JDD.

“Il se cache parce qu’il ne veut pas affronter son bilan. La violence des attaques montre qu’il a peur d’un face-à-face avec moi, car je suis la seule qui peut le battre”, assure-t-elle.

“J’irai jusqu’au bout”: Taubira ne veut rien lâcher

La gagnante de la primaire populaire reste déterminée, malgré les faibles intentions de vote qui lui sont attribuées dans les sondages. “J’irai jusqu’au bout”, assure-t-elle dans les colonnes du Parisien ce dimanche.

“Je n’ai cessé de dire que ma démarche qui a consisté à m’inscrire dans la logique de la Primaire populaire avait pour but un processus de rassemblement et de candidature unique. J’ai reçu une fin de non-recevoir de la part des autres candidats de gauche”, répond-elle face aux critiques sur sa candidature, une de plus dans une gauche divisée.

“Je vois que sur le terrain le rassemblement est possible et tangible. Nous devons nous parler. (…) Nous pouvons faire des choses ensemble”, appelle-t-elle.

“Je suis la femme à abattre”: Pécresse contre-attaque face aux critiques

La candidate des Républicains Valérie Pécresse ne veut pas se laisser gagner par le doute, alors que sa campagne patine. “Je suis la femme à abattre”, affirme-t-elle dans le JDD ce dimanche.

“Tous les coups se concentrent sur moi: ceux de la Macronie comme ceux d’Eric Zemmour et de Marine Le Pen. Je suis un danger politique parce que je suis la seule à incarner une alternative sérieuse à Emmanuel Macron”, soutient-elle.

Elle veut faire taire ceux qui s’inquiètent: “Je suis une conquérante. J’ai cette force en moi. Rien ne me détournera de mon chemin”.

Bonjour à tous!

Bienvenue dans ce direct, consacré à l’actualité politique de ce dimanche 13 février 2022.

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