EN DIRECT – Covid-19 : dernière phase de l’essai clinique le 27 juillet pour le vaccin de Moderna – LCI
COVID-19 – Alors que la pandémie continue de progresser dans le monde, aux Etats-Unis comme en Amérique latine, en Australie ou en Afrique, les derniers indicateurs tendent à montrer que la France n’est pas à l’abri d’une reprise de l’épidémie. Suivez les dernières actualités sur le coronavirus.
La biotech américaine Moderna a annoncé mardi qu’elle entrerait le 27 juillet dans la phase finale de ses essais cliniques pour un vaccin contre le Covid-19, devenant la première compagnie dans le monde à parvenir à cette étape.
30.000 personnes participeront à cette phase déterminante aux Etats-Unis ; la moitié d’entre elles recevront une dose de 100 microgrammes, les autres un placebo. Le but premier de cet essai, qui se terminera le 27 octobre, sera de prévenir tout symptôme du Covid-19. Ses objectifs secondaires incluent la prévention d’une infection par le SARS-CoV-2.
Les scientifiques avertissent toutefois que les premiers vaccins à arriver sur le marché ne sont pas nécessairement les plus efficaces ou les plus sûrs.
La Floride, qui a été l’un des premiers Etats américains à sortir de son confinement, a enregistré mardi un record du nombre de décès liés au coronavirus sur une journée, avec 132 morts tandis que plus de 9.000 nouveaux cas de Covid-19 y ont été détectés au cours des dernières 24 heures.
Les Etats-Unis ont enregistré 63.262 nouvelles infections au coronavirus au cours des dernières 24 heures, selon le comptage mardi à 20h30 (00H30 GMT mercredi) de l’université Johns Hopkins.
Le nombre total de cas recensés dans le pays depuis le début de la pandémie dépasse désormais 3,42 millions, d’après l’université basée à Baltimore, dont les bilans font référence.
Le Covid-19 a par ailleurs fait aux Etats-Unis 850 nouvelles victimes en 24 heures, portant le bilan total à 136.432 décès.
La biotech américaine Moderna a annoncé mardi qu’elle entrerait le 27 juillet dans la phase finale de ses essais cliniques pour un vaccin contre le Covid-19, devenant la première compagnie dans le monde à parvenir à cette étape.
30.000 personnes participeront à cette phase déterminante aux Etats-Unis ; la moitié d’entre elles recevront une dose de 100 microgrammes, les autres un placebo. Le but premier de cet essai, qui se terminera le 27 octobre, sera de prévenir tout symptôme du Covid-19. Ses objectifs secondaires incluent la prévention d’une infection par le SARS-CoV-2.
Les scientifiques avertissent toutefois que les premiers vaccins à arriver sur le marché ne sont pas nécessairement les plus efficaces ou les plus sûrs.
Le gouvernement Trump a renoncé à sa décision controversée de priver de visas les étudiants étrangers dont les cours resteraient virtuels à la rentrée universitaire pour cause de pandémie, a annoncé mardi une juge fédérale.
La décision, annoncée par la police de l’immigration le 6 juillet, avait été attaquée en justice par les universités de Harvard et du MIT, avec le soutien de nombreuses autres universités, syndicats d’enseignants et près de 20 Etats américains. “Les parties sont arrivées à une solution (…) le gouvernement a accepté d’annuler la décision”, a indiqué la juge lors d’une brève audience.
Lors de son déplacement au Samu de Créteil, Olivier Véran a expliqué pourquoi le gouvernement allait attendre “quelques semaines” avant de mettre en place l’obligation du port du masque. Assurant faire “confiance à l’esprit de responsabilité des Français”, dont il est certain qu’ils seront “extrêmement nombreux à appliquer” cette règle dès aujourd’hui, le ministre de la Santé a expliqué qu’il fallait du “temps pour s”approprier une nouvelle doctrine”. “Rendre obligatoire dans un certain délai permet cette période d’appropriation.”
Au-delà de ce laps de temps pour s’habituer à une nouvelle règle, le ministre de la Santé a aussi argué que cette période permet de réaliser “tout le travail de logistique”, comme s’assurer que tous les Français disposent de masques. “Nous devons pouvoir répondre à ces questions. Et donc cela nécessite d’avoir quelques jours.”
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Avec des nouvelles données scientifiques, qui estiment qu’il y a un risque d’une transmission aéroportée du virus, il sera peut être “nécessaire de revoir un certain nombre de choses”, a confessé le ministre de la Santé. C’est pourquoi le port du masque sera “très prochainement obligatoire dans les lieux publics clos”. En déplacement au Samu de Créteil, Olivier Véran a cependant appelé à se couvrir le visage dès aujourd’hui. “Sans même attendre l’obligation, nous disons aux Français, que lorsqu’il se trouve à l’intérieur d’une pièce et qu’ils sont plusieurs, le port du masque est recommandé et il sera désormais obligatoire.”
Le tournoi de tennis de Bâle, initialement prévu du 24 octobre au 1er novembre, est annulé “en raison de l’incertitude médicale, sociale et économique”, ont annoncé les organisateurs.
“L’ATP a officiellement approuvé la demande d’annulation venue de Bâle, alors que la direction du tournoi avait déjà déclaré à la mi-juin qu’il serait irresponsable et peu réaliste d’organiser l’événement en raison de l’incertitude médicale, sociale et économique liée à la situation”, ont expliqué les organisateurs dans un communiqué.
Comme Angela Merkel, le Premier ministre néerlandais s’est dit “assez pessimiste” sur les chances qu’un accord soit trouvé sur le plan de relance de l’Union européenne. Devant la chambre basse, Mark Rutte s’est toutefois montré ouvert à des subventions. “Je peux vous assurer que nous faisons tout ce que nous pouvons en coulisses, mais étant donné la façon dont les choses se passent, je n’ai pas beaucoup d’espoir.”
Une déclaration un tant soit peu défaitiste, qui arrive à quelques jours du sommet européen extraordinaire, qui aura lieu les 17 et 18 juillet. Et qui s’annonce d’ores et déjà tendu.
Comme nous vous le disions, des médecins français rapportent le premier cas confirmé de contamination intra-utérine au coronavirus dans une étude publiée aujourd’hui dans la revue Nature Communications. On vous explique dans cet article comment se sont faites les recherches et ce que ça implique pour les mères.
Covid-19 : premier cas confirmé d’une contamination intra-utérine
Plusieurs écoles de samba du carnaval de Rio de Janeiro ont décidé qu’elles ne participeraient pas aux festivités en février 2021, à moins qu’un vaccin contre le Covid-19 ne soit disponible d’ici là. Mangueira, Imperatriz Leopoldinense, Vila Isabel, Beija-Flor et São Clemente, cinq des 12 principales écoles, ont annoncé au quotidien O Globo qu’elles allaient voter pour un report sine die des défilés lors d’une réunion prévue mardi. “C’est simple, si le vaccin n’arrive pas (à temps), il n’y aura pas de samba. Comment peut-on rassembler des foules sans immunité collective ?”, a déclaré le président de Sao Clemente, Renatinho Gomes.
Le maire de Salvador de Bahia, où ces festivités attirent également des milliers de touristes, a, lui, proposé un report du carnaval dans tout le pays en avril ou en juin. Une proposition qui, pour l’heure, laisse sceptiques les dirigeants d’écoles de samba.
Des médecins français rapportent le premier cas confirmé de contamination intra-utérine au Covid-19 dans une étude publiée aujourd’hui dans la revue Nature Communications.
“Nous avons montré que la transmission de la mère au foetus est possible via le placenta dans les dernières semaines de grossesse”, explique à l’AFP son auteur principal, le docteur Daniele De Luca de l’hôpital Antoine Beclere de Clamart, après la naissance en mars d’un nouveau-né, de sexe masculin, souffrant de symptômes neurologiques associés à la maladie.
En Inde, où l’épidémie fait rage avec 23.727 morts sur 906.752 cas déclarés, les amendes pleuvent pour non port du masque, obligatoire dans l’espace public, dans les transports et au travail.Depuis mars, la police de Delhi a ainsi distribué plus de 42.000 amendes pour non port du masque ou non respect de la distanciation physique. A travers l’Inde, les forces de l’ordre ont récolté des centaines de milliers d’euros en contraventions, qui vont de 200 roupies à Bangalore (2,3 euros) à 1.000 roupies (11,7 euros) à Bombay.
Si dans certaines villes, comme Banglore, cela permet de renfouer les caisses, avec près de 117.000 euros récoltés en un mois selon le chef de la police locale, Hemant Nimbalkar, d’autres villes choisissent une autre stratégie. A Firozabad, les contrevenants au port du masque n’écopent pas d’amende mais doivent suivre un cours de quatre heures sur la distanciation physique et recopier 500 fois “Un masque doit être porté”.
Alors qu’Emmanuel Macron a évoqué la possibilité de rendre obligatoire le port du masque “dans les lieux clos”, cette mesure doit être précisée. Notamment pour les restaurants et bars. Seront-ils épargnés par cette consigne, comme c’est le cas au Royaume-Uni ? En attendant de le savoir, nous sommes allés à leur rencontre.
Rendre le masque obligatoire partout ? Dans les cafés de la rue Daguerre, “c’est hors de question”
Réagissant à la volonté d’Emmanuel Macron de rendre le port du masque obligatoire dans les lieux close, Philippe Juvin, chef des urgences de l’hôpital Pompidou à Paris, a rappelé que cette mesure était un “moindre mal” pour éviter un reconfinement qui “serait catastrophique”.
Le président de l’association des régions de France a salué l’annonce d’Emmanuel Macron sur le port du masque afin de reprendre l’activité tout en se “donnant les moyens de se protéger”. “Je pars du principe qu’il faut retourner à la vie. Et la vie nécessite de faire attention avec cette pathologie qu’on ne maîtrise pas parfaitement.”
L’élu Les Républicains regrette cependant le choix de date, préconisant qu’on se “protège tout de suite”.
Sur LCI, le Dr.Benjamin Davido a estimé qu’imposer le port du masque dans les lieux clos d’ici quinze jours permettait de faire de la “pédagogie”et “le temps que les choses puissent se mettre en place”. “Pour qu’il y ait une certaine habitude avant de rendre les choses obligatoires au sens pénal et avec une amende”, a ainsi avancé cet infectiologue de l’hôpital Poincaré de Garches.
Le Premier ministre thaïlandais a suspendu tous les vols vers son pays après qu’un soldat égyptien, en déplacement en Thaïlande, a violé sa quarantaine pour se rendre dans un centre commercial avant d’être testé positif au coronavirus.
Le professeur Pierre-Louis Druais salue la décision d’Emmanuel Macron de rendre le port du masque obligatoire dans les lieux clos. Car, alors qu’une pénurie existant en début de crise, aujourd’hui les Français semblent équiper. Il serait donc “paradoxal de ne pas les utiliser à bon escient”. “On n’a pas de traitements, on n’a pas de vaccins, donc il faut appliquer les mesures barrières.”
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Réagissant à la volonté d’Emmanuel Macron de rendre le port du masque obligatoire dans les lieux clos, le président de la région Grand Est a salué une “mesure de bon sens”. “Ce sera beaucoup plus simple, beaucoup plus compréhensible et beaucoup plus efficace pour lutter contre un risque de rebond.”
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“Je ne vois pas vraiment pourquoi on attend 15 jours”, a réagi sur franceinfo le généticien Axel Kahn, qui était l’un des signataires d’une tribune de médecins en faveur du port du masque obligatoire dans les endroits clos. “Je pense qu’on aurait pu aller plus rapidement en indiquant que dans les endroits clos, le port du masque est, dès lundi de la semaine prochaine, obligatoire.”
Chypre durcit le ton et introduit de lourdes amendes pour les touristes étrangers ne respectant pas les consignes anticoronavirus à leur arrivée. Une décision qui fait suite au comportement d’un voyageur qui avait menti sur son itinéraire et a été testé positif. Ainsi, si les vols commerciaux à destination de l’île méditerranéenne ont repris début juin, les autorités chypriotes demandent aux voyageurs, quel que soit leur pays de départ, de remplir avant leur arrivée un formulaire comprenant notamment l’itinéraire complet de leur voyage.
Sans ce formulaire, les passagers devront “soit payer une amende de 300 euros pour entrer sur le territoire, soit retourner dans leur pays de départ”, a annoncé le ministère des Transports dans un communiqué.
En réaction au calendrier scolaire bouleversé, le gouvernement a lancé les “colonies apprenantes”. Nous sommes allés voir comment se passe une journée type dans l’un de ces centres d’accueils.
Colonies de vacances “apprenantes” : le mode d’emploi
Depuis la manifestation du personnel soignant, le député Eric Coquerel retient de l’interview d’Emmanuel Macron sa volonté de rendre le port du masque obligatoire dans tous les lieux publics clos. L’élu La France insoumise regrette que le président n’ait pas annoncé que cette protection serait “fournis gratuitement”.
Emmanuel Macron a profité de son interview du 14 Juillet pour annoncer vouloir rendre le port du masque obligatoire dans “tous les lieux publics clos”. Si aucune date butoir n’est encore fixée, la mesure devrait être prise “dans les prochaines semaines”selon le chef de l’Etat, qui a évoqué le 1er août à titre d’exemple. “Nous allons observer la situation”, a-t-il précisé.
VIDÉO – Macron veut rendre le masque “obligatoire” dans “tous les lieux publics clos”
“Si une nouvelle vague apparaît, (il faudra) isoler le plus localement possible et donc le plus rapidement possible”, a expliqué Emmanuel Macron lors de la traditionnelle interview du 14 Juillet.
Le président de la République dit privilégier, cette fois, “une approche différenciée” en cas de recrudescence de l’épidémie de Covid-19. “Nous serons prêts” en cas de deuxième vague” a-t-il précisé.
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Si le chef de l’Etat explique que “les Françaises et les Français peuvent être fiers d’eux” et que le pays est sortie “du premier pic” de l’épidémie de coronavirus, Emmanuel Macron s’inquiète d’un retour du Covid-19 en France à l’instar de nombreux Etats. “Il y a des pays où ça repart très fort (…) Nous avons des signes que ça repart quand même un peu“.
Le président de la République assure que la rentrée de septembre “sera le plus normale possible” et précise que les autorités se sont mises “en capacité d’accueillir les élèves“. Toutefois, “s’il y a une accélération durant le mois d’août nous serons amenées à revoir les choses“, a-t-il précisé. Le ministère de l’Education avait publié vendredi une circulaire pour encadrer la rentrée, qui devrait se dérouler dans les mêmes conditions sanitaires que celles appliquées à la fin de l’année scolaire.
Emmanuel Macron se dit inquiet du “défi” des élèves “décrocheurs“. “Il va falloir aller chercher les enfants qui ont le plus souffert du confinement“.
La président de la République a évoqué la stratégie dans le cas où la France souffrirait d’une recrudescence de l’épidémie de Covid-19. “Nous sommes en train de tout faire pour éviter une nouvelle vague et pour avoir une approche différenciée si elle apparaissait“. Emmanuel Macron écarte donc, pour l’instant, toute possibilité d’un nouveau confinement total du pays, qu’il qualifie de “mesure la plus dure et la plus radicale“.
“Si une nouvelle vague apparaît, (il faudra) isoler le plus localement possible et donc le plus rapidement possible“, complète-t-il. “Nous sommes les acteurs de la lutte contre le virus. Si on ne veut pas de deuxième vague, ça dépend de nous“.
Le président de la République annonce que le port du masque sera obligatoire en France dans tous les lieux clos. Emmanuel Macron évoque la date du 1er août.
“La meilleure prévention ce sont les gestes barrières contre le coronavirus. (…) Je souhaite que dans les prochaines semaines, on rende obligatoire le masque dans tous les lieux publics clos.”
Le grand État du Bihar, dans le nord de l’Inde, vient d’annoncer le reconfinement à partir de jeudi et pour deux semaines de ses quelque 120 millions d’habitants afin de freiner l’épidémie de coronavirus.
“Le gouvernement du Bihar a décidé d’un confinement de quinze jours du 16 juillet au 31 juillet“, a tweeté le vice-ministre en chef de l’État, Sushil Kumar Modi. C’est le plus vaste reconfinement local en Inde depuis la levée du confinement à l’échelle nationale début juin, alors que la maladie Covid-19 continue de flamber dans le pays. Plus de 13 millions d’habitants de Bangalore et de sa région, dans le sud de l’Inde, entrent eux-aussi dans un reconfinement de près de dix jours.
Le deuxième pays le plus peuplé de la planète compte à ce jour 23.727 morts pour 906.752 cas déclarés de la maladie Covid-19, des chiffres en rapide progression.
Le Premier ministre thaïlandais a suspendu tous les vols vers son pays après qu’un soldat égyptien, en déplacement en Thaïlande, a violé sa quarantaine pour se rendre dans un centre commercial avant d’être testé positif au coronavirus. Une mauvaise pour le pays qui n’a enregistré aucun cas de contamination locale depuis 50 jours.
Les autorités sont maintenant à la recherche de 1.700 personnes ayant fréquenté le même centre commercial et qui auraient pu être en contact avec le soldat malade. Les autorités tentent également de retracer les mouvements de la fille d’un diplomate soudanais entrée dans le pays le 10 juillet, et qui a elle aussi été testée positive par la suite.
La Thaïlande avait rouvert timidement son espace aérien début juillet et laissé entrer certains groupes de visiteurs étrangers, triés sur le volet, dans l’espoir de relancer une économie exsangue après 3 mois de bouclage total. Depuis janvier, la Thaïlande n’a enregistré que 3.200 cas et 58 décès. Des millions d’employés du secteur du tourisme, qui compte pour environ 20% du PIB, sont au chômage depuis le verrouillage du pays, début avril.
Des ballons portant une banderole ont été lâchés au-dessus de la place de la Concorde durant les cérémonies du 14 Juillet. “Derrière les hommages, Macron asphyxie l’hôpital“, pouvait-on lire, un message revendiqué par le collectif de soignants Inter-urgences.
VIDÉO – 14-Juillet : une banderole survole la Concorde avec les revendications de soignants
Il s’agit d’une véritable énigme. 57 marins argentins ont contracté le Covid-19 après avoir passé 35 jours en mer… Et ce alors que l’intégralité des 61 membres d’équipage avait été testé négative avant de partir.
Un “cas qui échappe à toute description” : 57 marins argentins positifs au Covid-19 après 35 jours en mer
Sous une salve d’applaudissement, la Patrouille de France a clôturé l’hommage émouvant rendu aux soignants, en première ligne lors de la crise sanitaire du coronavirus.
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Des soignants civils ont rejoint les militaires place de la Concorde pour le défilé du 14 juillet. Un immense drapeau français a été déployé au pied de l’obélisque avant que La Marseillaise ne retentisse.
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Coronavirus : la pandémie qui bouleverse la planète