DIRECT. Uber Files : le député LFI Alexis Corbière envisage une commission d’enquête parlementaire – franceinfo

Retrouvez ici l’intégralité de notre live #UBER_FILES

16h49 : Si Yaël Braun-Pivet refuse l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire, les quatre partis de la Nupes feront valoir leur droit de tirage dès la prochaine session parlementaire, à l’automne. Il s’agit d’un droit dont dispose chaque groupe parlementaire, une fois par an, pour créer une commission d’enquête.

16h46 : Les députés de la Nupes vont demander à Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale, de formaliser par écrit demain à 10 heures, lors de la conférence des présidents, le lancement d’une commission d’enquête parlementaire sur l’implication d’Emmanuel Macron dans les Uber Files, a appris franceinfo auprès de sources parlementaires.

15h18 : “Cet écosystème vertueux, ça me faisait hurler. On est collectivement responsable car on a laissé s’installer des pratiques borderline.”

Aux yeux de l’ancien ministre du Budget, s'”il fallait évidemment nouer des contacts au ministère avec les milieux d’affaires”, l’ex-ministre de l’Economie est sans doute allé trop loin en matière de proximité avec les grandes entreprises. “Avec lui, il s’agissait de contacts réguliers et amicaux“, critique le socialiste.

15h16 : Les anciens membres du gouvernement de Manuel Valls, de 2014 à 2016, prennent leur distance avec Emmanuel Macron, dont la proximité avec Uber est détaillée dans une enquête de franceinfo. Pour Christian Eckert, ancien ministre du Budget, “Bercy était une rampe de lancement pour Emmanuel Macron. Cette connivence avec le milieu numérique, c’était un de nos conflits au ministère. Il fallait mettre de l’ordre dans le système de ces plateformes, ce qu’Emmanuel Macron et ses équipes ont toujours retardé”, critique-t-il dans une note de blog relayée par France 3 Grand Est.

14h54 : La question la plus importante, sur le sujet @UberFR, est de savoir si oui ou non son implantation en 🇫🇷 a été une bonne chose socialement et économiquement. Pour le reste, on peine à voir ce qui est répréhensible (intéressant, mm) dans l’article de @lemondefr sur @EmmanuelMacron

14h54 : Nicolas Bouzou n’est pas le seul à critiquer les révélations de différents médias sur les pratiques du géant américain des VTC. Pour l’ancien secrétaire au Numérique d’Emmanuel Macron, Cédric O, “on peine à voir ce qui est répréhensible dans ces éléments mis en lumière par les Uber Files.

14h48 : Uber Files : mon communiqué https://t.co/el0Quk3Snu

14h48 : Mis en cause pour avoir été rémunéré par le géant Uber, aux pratiques controversées, l’économiste Nicolas Bouzou a répondu, ce matin, dans un communiqué publié sur Twitter. Le chroniqueur français estime que son cabinet, Asterès, n’a pas “dérogé” à ses règles déontologiques lorsqu’il a été financé pour réaliser des études économiques.

13h52 : “Tout cela est sidérant. On est sur une autre planète. Il faut effectivement qu’il y ait enquête et il faut qu’il y ait des suites à cette enquête.”

Pour Philippe Ballard, “Emmanuel Macron ne respecte pas grand chose. On en a une nouvelle fois la démonstration, c’est sa vision anglo-saxonne”, pointe le député et porte-parole du RN, qui accuse le chef de l’Etat de vouloir “ubériser la société française”.

13h24 : Après l’opposition de gauche, c’est au tour du Rassemblement national de demander une enquête sur les liens entre le géant Uber et Emmanuel Macron, lorsqu’il était ministre de l’Economie (de 2014 à 2016). “C’est un scandale et une première sous la Ve République”, a réagi Philippe Ballard, porte-parole du RN et député de l’Oise, sur franceinfo.

12h16 : “Il a été une sorte de VRP ou de lobbyiste pour une entreprise américaine qui avait décidé de faire de la conquête du marché français sa priorité.”

L’ancien secrétaire d’Etat chargé du Commerce extérieur, Thomas Thévenoud, a fustigé sur franceinfo la relation qu’entretenait Emmanuel Macron et la plateforme Uber lors de son implantation en France. L’ex-député socialiste est à l’origine de la loi de 2014 qui régule la cohabitation entre les taxis et les VTC.

12h04 : Les douze coups de midi ont retenti, voici un nouveau point sur l’actualité :

“Lobbyiste !” Emmanuel Macron est sous le feu des critiques de l’opposition après des révélations sur son rôle de facilitateur pour Uber lorsqu’il était ministre de l’Economie. Le camp présidentiel défend sa volonté d’être à l’écoute des entreprises.

• Premier test symbolique pour l’exécutif. La motion de censure déposée par la Nupes contre le gouvernement d’Elisabeth Borne doit arriver à l’Assemblée nationale à 16 heures, sans le soutien de LR et du RN et donc sans chance d’aboutir.

Soulagement chez les coureurs, en ce jour de repos. Après l’apparition de premiers cas de Covid-19 ce week-end, l’ensemble du peloton testé hier soir a reçu un résultat négatif et va donc pouvoir continuer la course, selon l’UCI.

• Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, va quitter son poste le 20 juillet, a-t-on appris auprès de ses services, confirmant une information du Monde. Arrivé en mars 2019, il avait bénéficié d’une dérogation l’an dernier après avoir atteint la limite d’âge de 65 ans.

12h07 : Du côté de Renaissance, le parti présidentiel prend la défense d’Emmanuel Macron. “Un ministre de l’Economie qui rencontre des entreprises, c’est bien”, souligne la porte-parole et eurodéputée Ilana Cicurel sur BFMTV, défendant le principe de relations privilégiées avec le monde économique.

11h48 : “A chaque fois, il fait le choix du monde des affaires au lieu de la protection des Français, la protection du travail.”

Après la révélation des “Uber Files“, les critiques continuent de se focaliser sur Emmanuel Macron pour son rôle lorsqu’il était alors ministre de l’Economie. Sur BFMTV, le député communiste du Nord l’accuse de vouloir “imposer un modèle américain”.

09h21 : “Le minimum, c’est qu’Emmanuel Macron explique ce qu’il a fait.”

Sur franceinfo, le patron de la CGT demande au président de la République de clarifier son rôle dans l’implantation d’Uber en France. “On voit qui sont les partenaires d’Emmanuel Macron : les grands patrons, pas les petits. Les syndicats, eux, comptent ‘peanuts’.”

09h05 : Hop hop hop, pour avoir les idées claires, voici les titres de ce lundi matin :

• Le Rassemblement national accuse Emmanuel Macron d’avoir été “un lobbyiste au service d’intérêts privés étrangers”, après la révélation de documents montrant son rôle de facilitateur pour Uber lorsqu’il était ministre de l’Economie.

• Premier test symbolique pour l’exécutif. La motion de censure déposée par la Nupes contre le gouvernement d’Elisabeth Borne doit être soumise au vote, en fin d’après-midi, à l’Assemblée nationale, a priori sans le soutien de LR et du RN.

• Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, va quitter son poste le 20 juillet, a-t-on appris auprès de ses services, confirmant une information du Monde. Arrivé en mars 2019, il avait bénéficié d’une dérogation l’an dernier après avoir atteint la limite d’âge de 65 ans.

• Les Bleues ont soigné leur entrée. Pour leur premier match de l’Euro en Angleterre, les Françaises ont écrasé l’Italie (5-1) et confirmé qu’il faudrait compter sur elles parmi les favorites de cette compétition. Mention spéciale à Grace Geyoro, auteure d’un triplé.

08h14 : Envie d’en lire plus sur cette vaste enquête née de la découverte de plus de 120 000 documents internes ? Vous pouvez consulter nos premières révélations sur cette page. En voici une sélection :

Uber Files : révélations sur les pratiques de lobbying du géant des VTC

Uber Files : comment Emmanuel Macron s’est impliqué lors de l’arrivée du géant des VTC en France

“Activez le kill switch !” : quand Uber neutralisait ses ordinateurs à distance pour bloquer les perquisitions

08h09 : L’Elysée affirme qu’Emmanuel Macron a seulement “facilité” la mutation du secteur du transport de passagers en dénouant certains verrous administratifs ou réglementaires”. Réponse du député RN Sébastien Chenu : “Ce n’est pas déverrouiller l’économie, c’est abimer le patrimoine économique français au bénéfice de puissances étrangères.”

08h02 : Après des révélations sur les liens entre Uber et Emmanuel Macron lorsqu’il était à Bercy, le porte-parole du RN Sébastien Chenu accuse, sur notre plateau, l’ancien ministre de l’Economie d’être un lobbyiste au service d’intérêts privés étrangers” et “un idéologue de la dérégulation et de la mondialisation”.

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p id=”lmsg-62cba273a37a446b5d0efd04″ class=”message custom”>07h31 : Voici un premier point sur l’actualité de ce lundi 11 juillet :

• Premier test symbolique pour l’exécutif. La motion de censure déposée par la Nupes contre le gouvernement d’Elisabeth Borne doit être soumise au vote, en fin d’après-midi, à l’Assemblée nationale, a priori sans le soutien de LR et du RN.

• Uber est dans la tourmente après la révélation par le Consortium international de journalistes d’investigation de pratiques à la limite de la légalité entre 2013 et 2017. Des documents montrent la proximité d’Emmanuel Macron avec la plateforme à l’époque.

• Les Bleues frappent un grand coup. Pour leur premier match de l’Euro en Angleterre, les Françaises ont écrasé l’Italie (5-1) et confirmé qu’il faudrait compter sur elles dans cette compétition. Mention spéciale à la Parisienne Grace Geyoro, auteure d’un triplé.

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