Dîners clandestins : Pierre-Jean Chalençon se défend une nouvelle fois… et se désolidarise du chef cuisinier Christophe Leroy (VIDEO) – Télé Loisirs.fr

Depuis une semaine, Pierre-Jean Chalençon se répand dans les médias afin de se défendre dans l’affaire des dîners clandestins présumés. Ce samedi 10 avril sur BFMTV, le collectionneur s’est désolidarisé du chef cuisinier Christophe Leroy.

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Jusqu’où ira cette affaire ? Vendredi dernier, un reportage du 19.45 de M6 a fait l’effet d’une bombe sur les réseaux sociaux. En effet, les journalistes de la Six ont découvert que des dîners payants avaient lieu au coeur de Paris, malgré les mesures gouvernementales mises en place depuis le début de la crise sanitaire. Selon les équipes de M6, l’organisateur de certains de ces dîners est le célèbre collectionneur Pierre-Jean Chalençon. Celui qui se vantait dans le reportage de manger dans des restaurants clandestins avec des ministres a ensuite plaidé l’humour et ne cesse de se défendre dans les médias. “À cette soirée de jeudi, nous étions quelques personnes, il y avait 9 personnes qui se sont battues en duel et la soirée s’est terminée à 22h. J’ai commencé le dîner à 17h ! Je trouve ça très triste. Bien évidemment, je n’ai jamais organisé aucune soirée clandestine, surtout pas avec des ministres ! J’ai l’impression qu’on essaie de me faire porter le bouc-émissaire [sic]. On essaie d’utiliser mon nom pour faire tomber le gouvernement !”, a-t-il notamment déclaré sur le plateau de Touche pas à mon poste.

“Je n’ai jamais fait payer qui que ce soit”

Face à cette affaire qui éclabousse jusque dans les hautes sphères de l’Etat, le parquet a décidé d’ouvrir une enquête pour travail dissimulé t mise en danger de la vie d’autrui. Pierre-Jean Chalençon et le cuisiner Christophe Leroy ont été placés en garde à vue pour entendre leur version des faits avant d’être relâchés. Ce samedi 10 avril sur BFMTV, le collectionneur fan de Napoléon s’est une nouvelle fois défendu, cette fois en rejetant toute responsabilité sur le chef Christophe Leroy. “Je n’ai jamais fait payer qui que ce soit chez moi. Les menus à 300, 400, 500 euros, je ne sais pas ce que c’est. Cela concerne monsieur Leroy”, a-t-il débuté avant d’ajouter : “J’ai reçu monsieur Leroy pour une soirée professionnelle dans les règles de conditions sanitaires pour préparer le bicentenaire de Napoléon”. Ce qui est sûr, c’est que cette affaire est loin d’être terminée.

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